On a échanger quelques mots, je lai aider a prendre son ticket pour prendre le métro elle devait sûrement aller en soirée et je n'ai pas oser lui demander son nom. On ne sait regarder qu'un court instant mais sa a suffit à graver son visage dans ma tête. Jai chercher un moyen de la retrouver, j'espère qu'elle me remettra.

je suis descendu à la station Jules Joffrin, nous nous sommes échangés des regards, j'étais avec mon fils.

Nous nous sommes aperçus lorsque je suis monté à la station Corentin Celton. Nous avons échangés des regards puis avons souri. Je suis descendu à Montparnasse, nous avons échangé un dernier regard.

J'avais pris le métro à la station Rennes, peu après 13:34, et je suis sorti à St-Lazare, avant 13:48. Je ne me rappelle plus à quelle station tu es entrée et je ne me rendais pas compte que ton regard me cherchait. Puis nos yeux se sont croisés et tu as fixé et soutenu mon regard pendant environ 5 à 10 secondes, de manière totalement décomplexée et assumée. J'ignore quel peut bien être ton âge mais pas plus de 20 ans, à mon avis. Ta chevelure devait être une coiffure de tissage. Peu après notre échange de regard, tu as porté ta main gauche à ta chevelure et tu as commencé à la triturer fémininement. Tu étais assise sur un strapontin, dans le sens inverse à celui de la marche du métro, à côté de la porte d'entrée/sortie, du milieu de la rame (la 2ème porte). J'étais assis dans le sens de la marche, au bord du couloir, dans un des groupes de 4 sièges. Derrière moi, à ma droite, se trouvait la 3ème porte d'entrée/sortie, à l'arrière de la rame. J'ai apprécié l'audace de ton regard même si j'étais pris au dépourvu. Ces choses arrivent quand on ne s'y attend pas. Si tu te reconnais dans ce message et que tu souhaites me retrouver, tu peux...

Tu étais habiller en noir avec un voile ,lunette et basket argenté, moi tout en noir avec une petite barbe , yeux verts j'avais un sac a terre , je suis monté à Sèvres Babylone et me suis assis en face de toi sans faire attention à toi je regardé mon téléphone jusqu'à ce que je lève la tête et t'ai vu . Nous nous sommes regarder a plusieurs reprises j'ai voulu te donner mon numéro mais un couple c'est mis debout entre nous et tu est descendu a saint Lazare, j'ai vu que tu t'étais retourner et c'est là que j'ai regretté de ne pas être descendu... Si tu lis ce message contacte moi

On s'est croisé sur le quai de la 12 à Concorde vers 18h40. Métro blindé, wagon de tête. Quelques échanges sur le quai puis dans le wagon. Tu as effleuré ma main. Tu portais un totebag Cookie Radio noir. Tes cheveux châtain mi longs et bouclés et yeux clairs m'ont plu. Moi blond aux yeux clairs derrière mes lunettes. Je suis descendu à Notre Dame des Champs et toi forcément après, mais où ? On se recroise ou mieux on se revoit !

Laissant passer les sortants sur le côté des portes du métro, je m’apprêtais à entrer lorsque tu t’es levée sans doute car tu venais de réaliser que c’était ton arrêt. Nos regards se sont croisés, se sont fixés, tu m’as souris, j’étais au téléphone et ai mis du temps à réagir. Une fois dans la rame je suis resté près de la porte à t’observer partir, tu t’es retournée en me regardant une dernière fois avant que le métro ne ferme ses portes…

Tu es entrée dans le wagon de queue en faisant un facetime pendant lequel tu arborais un sourire plein de charme. A la suite de quoi, nous avons échangé un regard longuement tenu. Tu t'es rapproché de moi et nous avons échangé quelques mots après que le mouvement du métro t'est fait trébucher. Près de moi, tu as réalisé un réel sur Facebook mais je n'ai pas osé y poser un regard indiscret. J'ai seulement observé que tu devais être aidé soignante. Nous nous sommes dit "au revoir" avant que je descende à la station "concorde". Depuis ce sourire splendide et la douceur de ta voix m'invitent à essayer de te revoir.

Tu t'étais trompée de direction après m'avoir doublé à pied dans le couloir et en faisant demi tour on a échangé quelques mots. Tu m'as tout de suite sublimé...

Je suis rentré Rue du Bac et je t’ai tout de suite remarqué. Tu étais assise sur un strapontin, avait les jambes croisées dans ta minijupe en skai, et un visage charmant, J’étais absorbé pas ma lecture et tu regardais ton téléphone, Je t’ai regardé plusieurs fois et j’ai senti aussi tes regards. A Concorde, une foule est entrée, nous étions obligés de se serrer, nous étions alors très proches, côte à côte. Nos bustes se sont touchés plusieurs fois. Tu es descendue à Pigalle mais tu as rapidement retrouvé une amie alors je ne t’ai pas abordé. Je le regrette !

Je suis rentré dans le métro, avant dernier wagon Mairie d'Aubervilliers. Il y avait de la place partout pourtant j'ai décidé de m'asseoir à ce carré. Pour laisser de la place je me suis mis face à toi, j'ai croisé ton regard et j'ai perdu pied. J'ai passé le trajet à me tortiller de stress et de malaises. Dois-je te demander ton prénom ? Dois je te partager mon numéro ? Soudain panne de courant les lumières s'éteignent. Les nerfs ont lâchés et j'ai étouffé un fou rire, souriant bêtement de mon impuissance face à cette situation. L'arrêt Madeleine est arrivé, on s'est levé en même temps, je t'ai laissé passer, je t'ai laissé filer...

Nous avons pris le même train de Marseille à Paris puis la ligne 1 et enfin la ligne 12 tu es descendu à Volontaires