Jolie demoiselle brune souriante fouillant son sac descendant a la station poissonnière sourire magique

On était à côté dans la rame de la ligne 4, tu regardais la vitre, et tu écoutais ta playlist Spotify debout, cheveux blonds, tu m'as regardé rapidement une fois, puis une autre au moment Où je suis descendu à Saint Sulpice, tu avais les yeux humides, on aurait dit qu'ils se retenaient de pleurer. Je ne connaitrais peut-être jamais la raison mais ça m'a touché.

Mon coeur a fait boom boom tres attirante. Une blancheur dentaire incroyable qui laisse a croire une hygiène aux delas des limites. Jaimerais tellement la revoir et je regrette tellement ne pas avoir attendu son arret pour quel descende pour aller la voir. Elle m'as tellement plus. Si tu vois ce message prend contact avec moi jai pu ressentir un bonheur une complicité ensemble à 1er vue.

On s'est croisé dans les escaliers du métro Porte Dorée direction Balard. Une femme était entrain de pleurer et on s'est tout les 2 arrêtés pour voir ce qu'elle avait. La fille que je cherche l'a raccompagné dehors, je suppose. On a échangé un sourire, depuis je n'arrive pas a l'oublier...

Nous avons parlé musique à partir du magazine Magic que j’étais en train de lire. J’aurais aimé poursuivre cette conversation autour de ton souhait de te refaire une culture musicale depuis ton retour en France (après l’Angleterre et la suisse).

Je recherche une fille d'une vingtaine d'années. Cela fait 2 fois qu'on se croise. La première fois en février, la deuxième le 8 avril. Tu étais blonde la première fois, puis brune lorsque je t'ai recroisé. Tu aimes porter des chaussures types bottines et tu es blanche de peau.J'étais aux Sablons à t'attendre, un livre à la main. Je pense que tu m'as reconnu, tu es passé proche de mon sac, tu t'es arrêté à moins de 10 mètres de moi, et tu m'as regardé. Un long regard plein de nostalgie et de frustration. Je ne t'ai pas reconnu sur le coup et j'en suis réellement désolé. Ce n'est qu'après que tu sois monté dans le métro, et que je t'ai regardé par les portes de la râme que je t'ai reconnu physiquement. Mais ton regard profond... ton regard m'a rappelé le coup de foudre que j'ai eu pour toi en février. Si tu vois ce message, je t'en prie contacte moi. Je crois vraiment en cette rencontre. Sache que je partage ta déception de notre rencontre manqué en février.

Je suivais vos chaussures plates, et votre manteau mi-long un peu vert peut être, en montant l'escalier vers le quai de la ligne 6 à Montparnasse, un soir où la 12 était en panne. Nos regards se sont croisés quand je vous ai dépassé sur le quai en soufflant comme vous. Cheveux brun, comme vous, j'avais un kway vert, un sac à dos et un pantalon noir, et une sacoche grise en bandoulière. Je suis monté une voiture avant la vôtre, et nous sommes descendus à La Motte tous les deux. Un petit courant semblait être passé.

À 9h, au RER, à Denfert-Rochereau, elle est passée, et mon cœur s'est arrêté, yeux bleus comme le ciel, cheveux bruns comme la nuit... Elle m'a ouvert les yeux, l'esprit, un choc de beauté, qui m'a laissé sans souffle.

Lettre d'un inconnu pour une inconnue. Dans le métro, les regards se croisent et se décroisent. Les regards s'intensifient et s'affaiblissent. Dans l'espoir, de rencontrer une inconnue...

Vous, brune, courte queue de cheval, lunettes de soleil, assise en diagonale de moi dans le carré. Moi, brun, yeux bleus, légère barbe, lunettes de vue, boucle d’oreille et bagues aux doigts, un livre sur Sade dans les mains. Plusieurs sourires appuyés de votre part. Descendue à Miromesnil (?). Pas osé vous suivre… Vous revoir ? Un signe de votre part ?

Ligne 9, jolie brune cheveux plutôt courts et lunettes de soleil. Tu portais un sac IKEA, plusieurs regards échangés. J'ai eu l'impression que tu attendais pour descendre au terminus Pont de Sèvres. Je suis parti pour prendre mon bus... Tu m'as jeté un dernier regard en passant, j'aurais dû descendre de ce bus... Moi brun, petite barbe, lunettes, manteau vert et sac à dos gris. Si tu lis ce message n'hésite pas.

Je déplaçais mes gros cartons à la station Louvre de la ligne 1. Une fois que j'avais bien bousculé tout le monde je me suis posé et mon regard est tombé sur elle. Àgreablement surpris elle m'a tout de suite plus. J'ai pas vraiment osé entamer la conversation déjà que j'avais l'impression de gêner tout le monde mais j'ai senti son geste de me faire de la place. Bon point 👍. Mais comme si ça ne suffisait pas le métro se met à freiner brusquement à l'approche de l'arrêt gare de Lyon. Je la vois perdre son équilibre et lui dit, amusé par la situation "c'était violent", ce à quoi elle me répond par un magnifique sourire. Sourire qui à eu l'effet d'un sniper qui me met un headshot. Voilà si jamais tu tombes sur ce poste n'hésite pas à m'envoyer un message ✌️