Hier matin, j’ai traversé Paris à vélo pour me rendre à une réunion, il faisait beau et frais après l’averse sur cette piste cyclable qui longeait la Seine dans le 15ème. Une douce musique flottait dans l'air frais, diffusée par une petite enceinte accrochée au vélo qui me suivait. Un premier échange autour d’une histoire de flaque d’eau à traverser et de chaussette mouillée, une amorce de discussion à la faveur de 2 ou 3 feux rouges qui nous ralentissaient, et une invitation à prendre un café que j’ai bêtement refusée...

. J’étais juste assise à côté de vous Mon tel a sonné à la fin Je me suis excusée C’est pas grave avez-vous répondu. Vous m’avez laissé passer Puis tenu la porte Je n’ai pas osé vous regarder Je suis partie à droite Et vous… je ne sais pas

Tu m’as abordée devant le métro bastille en me proposant un verre car tu me trouvais jolie ; j’ai décliné l’invitation car j’avais un rdv important et j’étais en retard Je n’ai pas voulu prendre ton numéro car j’étais un peu méfiante et troublée J’aimerais bien te revoir

Bonjour,Je me permets de vous écrire un peu par surprise, en espérant peut-être vous faire sourire — ou avec un peu de chance, être lue par la bonne personne.Je suis venue ce lundi 23 juin 2025 au Centre Pompidou pour voir l’exposition de Wolfgang Tillmans, notamment parce que je suis fan de sa photo de Frank Ocean. Et ce jour-là, j’ai croisé un inconnu qui m’a d’abord esquissé un sourire. Il était seul, environ de mon âge, t-shirt Tupac, short, chaussettes hautes.Sans un mot, on a parcouru l’expo un peu côte à côte : mêmes œuvres, mêmes livres feuilletés, mêmes arrêts devant les photos. On a même quitté l’exposition en même temps, pris le même ascenseur.Je ne sais rien de lui. Mais j’ai trouvé ce moment doux et un peu suspendu.Si par hasard vous avez un espace où partager ce message, ou si jamais cette personne venait à se reconnaître… Je suis brune, cheveux attachés en chignon, d’origine nord-africaine. Ce jour-là je portais un t-shirt blanc avec un dessin de la Palestine, un pantalon noir ample et des Onitsuka Tiger.Merci pour votre temps, et pour accueillir dans vos murs des instants comme celui-ci.Bien à vous, Inès

Nous avons echangé quelques mots au bar du Favela mais j'étais accompagnée. Je pensais te retrouver plus tard mais je suis partie rapidement et je n'ai pas eu le temps de te dire que tu me plaisais beaucoup. J'ai vraiment été charmée par ton sourire et j'aimerai beaucoup te revoir, si j'ai la chance que tu lises mon message...

Nous nous sommes croisés sur le quai de la gare Saint Lazare ,j accompagnait un groupe d enfants qui étaient autour de moi ,vous sortiez vers la rue d Amsterdam

Je recherche un Benoit grand, blond avec des lunettes qui m’a abordée mardi 3 juin Boulevard Saint Michel vers 18h40 près de l’angle de la rue des écoles. Il habite l’Essone et il se rendait au Jardin du Luxembourg. Il portait des chaussures et une chemise bleues.

Je crush sur toi depuis bien longtemps mais Je n’arrive pas à prendre mon courage à deux mains pour venir te parler.

On s’est croisé et tu m’as souris et dit bonjour et ensuite on s’est retourné en même temps ! Depuis ce jour je ne cesse de penser à toi et espère te revoir

Rencontre manquée – Halles, Paris. J’ai croisé un garçon prénommé Rodolphe. On a échangé quelques mots, il m’a dit qu’il était policier, je lui ai donné mon numéro mais il a dû mal le noter. Si tu te reconnais, écris-moi ici :)"

Bonjour Nous nous sommes croisés à une consultation en Neurologie. Vous m’avez dit que je ressemblais à quelqu’un de votre famille originaire de la Martinique. Puis dans la même semaine 3 jours après nous sommes recroisés par hasard dans le bar du TOO Hôtel dans le quartier BNF. En sortant respectivement des toilettes. Nous nous sommes reconnus et avons été stupéfaits de cette coïncidence. Nous étions respectivement accompagnés… j’ai rejoint mon ami vers les ascenseurs.

Nous nous sommes croisés dans la rue. Tu t'es cogné au guidon de mon vélo que j'étais en train d'attacher maladroitement à un poteau devant la Poste. Tu t'es excusé mais c'est moi qui ne devais pas accrocher mon vélo à cet endroit; J'ai aimé ton regard mais je n'ai pas su que faire sur le moment... où es tu ?