Je t’ai rencontré sur la ligne 8 entre Faidherbes et République, la station où je suis descendu. On était l’un en face de l’autre. J’étais avec un ami, mais j’avais du mal à ne pas te regarder et à échanger des sourires avec toi. Il y avait un groupe de rugbymen à côté de nous. Tu étais habillée avec un pantalon noir en cuir, des sneakers blanches et un haut noir avec des motifs blancs. J’avais un pantalon gris foncé, des sneakers avec plusieurs couleurs, un pull gris clair et une surchemise bleu foncé. En espérant pouvoir échanger plus de sourires avec toi.
Date
mercredi 22 mai 2024
Heure
Soir, Entre 22h00 et 23h00
On a échangé
Un regard, Un sourire
Ville
Paris, France
Type de transport
Métro
Ligne n°
8
Terminus
Balard
Wagon
Milieu
Je suis un
Homme
Cheveux
Bruns
Coupés
Courts
Yeux
Marrons
Peau
Mate
Taille
Plus grand·e
Signes distinctifs
Cheveux bouclés, deux boucles d'oreilles à l'oreille gauche, des bracelets sur le poignet gauche
Tu es une
Femme
Cheveux
Bruns
Coupés
Mi-Longs
Yeux
Marrons
Peau
Blanche
Signes distinctifs
Cheveux mi-longs bruns, chaussures blanches, un haut noir avec des motifs blancs, un pantalon en cuir et surtout un très beau sourire
Pendant vos 100 pas guidant les miens sur les quais de la 8 à Opera, et quelques échanges de regard, je mourrais d'envie de vous adresser la parole. Nous sommes montés dans le même wagon - vous êtes descendue à Montgallet, je me suis mordu les doigts de ne pas vous interpeller. Ne serait ce que pour vous dire comme vous étiez belle et élégante. Bouteille à la mer d'un bras cassé !
19h30 ce lundi soir Tu avais un bonnet et un grand manteau Regards ; les tiens noirs et profonds, plutôt furtifs et timides pour moi, sourire discret à la sortie :)
Tu étais magnifique, j'ai échangé quelques mots avec ton fils. Tu m'as souri en descendant à la motte piquet, j'ai regrette ne pas être descendu te parler des que les portes se sont fermées.
Conquis par tes beaux yeux clairs (verts) et ton regard envoûtant, je n’ai pas pu m’empêcher de te regarder. Je suis monté dans la ligne 8 à Richelieu Drouot vers 18h30 et, par chance, j’ai pu m’asseoir en face de toi après que le couple de retraités soit descendu. Nos regards se sont croisés, et j’aurais aimé te parler, entendre ta voix et apprendre un peu de toi. Mais malheureusement j’ai dû descendre à Félix Faure, te laissant derrière moi... Tu portais un manteau noir, un jean bleu clair, et un collier sympa. La plupart du trajet, tu étais concentrée sur ton téléphone, et moi, je ne pouvais détacher mes yeux de toi. Je suis brun, la peau mate, avec une barbe. Je portais une veste verte, un pull à blocs de couleurs (bleu, gris, blanc et marron) et des lunettes de vue marron. J'avais mon casque pendant tout le trajet, un sac bleu pour le travail et un sac vert pour la salle de sport. J’espère que le hasard nous donnera une nouvelle chance… au plaisir de te revoir 😊
Serrés comme des sardines sur la ligne 8 direction Balard, je lisais debout contre le strapontin. À Invalides un trou se forme et nos regards se croisent. Tu as des cheveux longs bruns foncés qui font écho à ton regard profond et une peau plus mate que la blancheur parisienne. Tu portais un manteau bleu, des Uggs je crois et un tote bague blanc bleu. Nous avons cherché nos regards plusieurs fois, jusqu'à ce que je montre mon intention de descendre à La Motte-Picquet. Nous nous sommes regardés plus intensément, un presque sourire aux lèvres. J'espérais tellement que tu descendes pour t'aborder. Je portais un gilet noir de mi-saison, un jeans large et des nike blanches. J'avais un sac en kraft avec deux livres. Si jamais tu lis ça, peut-être qu'on peut voir où ces regards nous mènent ☺️
Nous nous sommes croisés dans les escaliers, tu t’es retourné et je t’ai souri tu t’es arrêté tu m’as souri je suis acheté un ticket je t’ai retrouvé sur le quai tu m’as souri. Je suis monté avec toi dans le wagon tu m as regardé et je ne t’ai pas abordé
Je t'ai regardé dans les yeux quand tu étais assise en attendant le métro sur la 8 direction créteil à Opéra. Dommage qu'il y avait tant de monde pour pouvoir t'aborder mais je pense que tu sauras qui je suis.
Je suis à ta recherche, toi qui m’a gratifié de quelques regards avant de descendre à École Militaire. Je proposais à une dame âgée juste à côté de toi de s’asseoir à une place qui s’est libérée dans mon dos. J’avais l’esprit un peu ailleurs et je regrette de ne pas être venu te voir. Permet moi de corriger cette erreur…
J’ai complètement flashé. Le métro était full comme d’hab et tu es venue te mettre si près de moi ( de dos) que jnetais en déséquilibre dans le carré du fond, on s’est regardés plusieurs fois. Je suis descendu à la motte picquet et tu es restée à bord. Je me suis dit mais pourquoi tu ne lui as pas donné ta carte de visite ? Peut être parce que je n’ai plus de carte de visite foutue digitalisation ! Je suis grisonnant quand même il faut le dire. Tu es magnifique.
Atteint de la maladie du siècle, la timidité, je n’ai pas réussi à répondre à vos regards. Me voici donc porteur à présent de la jolie maladie de toujours : l’amour au premier regard.! Vous êtes probablement née un certain temps avant moi, mais pour moi..oui, j’ose y croire, sublime jeune femme aux cheveux blonds ! Vous êtes descendue à Latour-Maubourg… Il ne me reste qu’à invoquer le ciel qui vous a.fait prendre ce transport afin que cette bouteille à la mer trouve sa destinataire et me donner la chance de devenir simplement un homme heureux sur terre !
On a partagé un trajet entre République et Opéra ce matin (9h30). Nos regards se sont croisés, et on s'est échangé des sourires complices pendant une grande partie du trajet. Tu m'as offert un dernier sourire avant de descendre à ta station. Maintenant, je laisse place aux regrets de ne pas avoir osé t'aborder. J'essaie ma chance ici, en espérant qu'on puisse se retrouver
À toi l’inconnue du métro de ce samedi 13 janvier, vers 19h à Paris. On a partagé un bout de trajet dans un métro bondé. C’est dans la ligne 8 direction Balard que nos chemins et nos regards se sont croisés. Je suis descendu à Richelieu - Drouot et c’est là que je t’ai perdu de vue. Notre entrevue n’a pas duré longtemps puisque j’étais monté à l’arrêt Filles du calvaire et c’est maintenant que commence le mien. En effet, ces quelques instants ont suffi pour que je tombe sous ton charme et maintenant je regrette de ne pas t’avoir abordé. Mais je n’ai pas osé et ton regard posé sur moi m’a pétrifié sans comprendre ce qui m’arrivait. J’espère que tu te reconnaîtra. Toi jeune femme brune habillée d’un manteau marron et d’un discret anneau dans le nez. Tu t’es plongée dans le livre d’Annie Ernaux, « la femme gelée » que je me suis empressé d’acheter. Si la vie ne nous donne pas l’occasion de se revoir et d’écrire une histoire de notre vivant au moins on partagera celle de ce roman. Mais je crois aux signes alors je te dis à très vite. Signé l’homme à la doudoune bleue.
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