On s’est échangé deux trois mots puis quelques sourires dans le train/metro Si tu te reconnais n’hésites pas à interargir

Nous étions dans la même voiture du train pour Lyon. On a échangé brièvement. Arrivé à Lyon, ton père t'attendait à la gare. Je n'ai pas pu te demander tes coordonnées.

Nous avons échangé un regard, puis un sourire. Puis vous avez lâché vos cheveux, avez mis du rouge à lèvres et mavez demandé : " vous a t on deja dit que vous ressembliez a Sean Connery. J'ai dis oui et noys avons échangé qq mots. J'ai reussi (ouf) a vous demandé si vous accepteriez que je vous donne mon 06. Vous mavez repondu "je suis mariée "... je n'ai pas osé vous repondre "moi aussi". Prenons un café ? Juste revoir votre sourire... Sean

Le lieu et titre de l'annonce devraient suffire en cas de recherche ;) Je regrette qu'on n'ait pas échangé de numéros, même si l'intention première n'était probablement pas celle-ci. Bonne vibe, message courageux et touchant, un café à l'occasion ?

Très stylée :)

Nous avons échangé dans le train, tu étais en face de moi alors que j'occupais la place 71 et toi la place 72 (je pense). Moi qui habite en Normandie, toi qui a toujours habité à Lyon, qui lisait un livre de Mélissa Da Costa (tout le bleu du ciel) qu'une amie t'a offert pour ton anniversaire. Après une prépa littéraire (ou tu as lu entre autres Boule de Suif) que tu n'as pas aimé du fait d'un esprit de compétition exacerbé, tu as ensuite validé un Master (en rapport avec l'Italie) et tu es aujourd'hui assistante commerciale. Par ailleurs, tu réfléchis à déménager sur Toulon puisqu'une offre d'emploi te semble te plaire beaucoup. Tu pratiques la boxe. Moi qui ai travaillé dans le secteur de l'assurance plus de 15 ans au sein d'une affaire que nous tenions en famille et qui m'oriente à présent dans le diagnostic immobilier en tant qu'indépendant et accompagné d'un réseau de franchise ; Moi qui pratique l'apiculture et fait 3 à 4 heures de sport par semaine. Je souhaitais te dire que j'ai passé un très bon moment en ta présence et que je m'en veux terriblement de ne pas avoir su faire en sorte que nous puissions garder un contact pour pouvoir encore échanger et pourquoi pas se revoir si la vie le permet. Je prie pour que tu puisses voir mon message qui te permettrait, si tu le souhaites, de me contacter.

Nous étions côte à côte, je n' ai pas osé t aborder... Je le regrette alors sait-on jamais...

Un regard, un sourire, une sensation si forte d'etre "connecté" à elle ..sans savoir, sans comprendre pourquoi ...je ressens hier et aujourd'hui cet état de manque pour une femme accompagnée d'une autre femme qui voyageait avec 4 enfants mais que je n'avais rencontré ? J'aurais dû lui parler, ne pas laisser le silence fermer cette "porte" quand elle s'est retourné vers moi avec ses magnifiques yeux bleus en me souriant longuement ! Je voudrais lui avoir laissé un numéro de téléphone même si rien ne devait advenir pour ne pas avoir ce regret et/ou avoir cette sensation d'avoir "laissé une bougie allumée". Une goutte d'eau dans un océan, mais cela me fait du bien de le formuler. Sincèrement Philippe.

J’aimerais vraiment te les rendre en main propre, je n’ai pas osé te parler pendant le trajet après plus de deux heures d’attente en gare… j’espère te retrouver pour te les tendres et pourquoi pas boire un verre !

J’ai pas osé t’aborder devant ta mère mdr

On a échangé des sourires et quelques mots. Un couple et leur petite fille était entre nous. On était sur nos PC pendant le trajet. Tu as été plus entreprenante à l'arrivée en gare... et je suis parti trop vite...

[Attention le message qui suit est digne des plus beaux téléfilms romantiques AB Productions mais pour une fois j'y crois] Si seulement j'avais osé...tout a commencé à la gare d'Austerlitz, le train avait du retard, nos regards se sont croisés dans le hall pendant un long moment, je suis resté ébahi devant ton visage si doux, si beau. Déjà je n'ai pas osé t'aborder. Dans le train une personne était assise à ma place, aucun problème pour prendre la sienne au bout du wagon, surtout quand j'ai vu que tu étais juste à côté. Mon petit coeur a bondi mais là encore je n'ai pas osé. Pendant le trajet nous avons échangé d'autres regards, des sourires. Tu avais un pc, tu as édité des cours de psychologie d'un IUT mais je n'ai pas voulu être indiscret et n'ai pu voir lequel. Puis tu as lancé un épisode de One Piece, ton sourire était éclatant. Je me suis assoupi vers Dijon, en me réveillant tu avais ta tête posée sur mon épaule tu dormais aussi, tu étais si belle. A Châlon tu t'es réveillée en sursaut et confondue en excuses, j'aurais voulu te dire que tu pouvais la laisser mais je n'ai pas osé. Tout le reste du trajet, nos épaules se sont frôlées, nos pieds, nos genoux. Je voulais te prendre dans mes bras. A la Part-Dieu tu m'as demandé si c'était le terminus, j'ai répondu que non. Je devais descendre là mais tu allais jusqu'à Perrache, alors je suis resté mais toujours je n'ai pas osé. J'aurais voulu que jamais ce train ne s'arrête, que l'on fasse le tour du monde ensemble à son bord. En quittant le train vers 18h on s'est souri et dit "au revoir", puis tu es grimpée dans un TER direction Villefranche. Tu t'es retournée, on s'est souri une dernière fois, mais je n'ai pas osé, encore, toujours. Si tu lis ces mots, sache que tu as fait chavirer mon coeur, je n'oublierai jamais ton visage, ton sourire délicieux, la douceur de ton regard, l'odeur de tes cheveux, je regrette tellement de ne pas avoir osé... On ne sait rien l'un de l'autre, c'est une bouteille à la mer que j'envoie ici mais si tu veux bien que je sois ton Luffy, je ferais de toi la reine des pirates ! J'avais les cheveux longs attachés, des lunettes transparentes rondes, une veste à carreaux bleus et un sac de voyage jaune. Où que tu sois, je souhaite que tu sois heureuse ; je garde en moi l'espoir de te retrouver pour y contribuer.