Date
lundi 30 septembre 2024
Heure
Après midi, Entre 15h00 et 16h00
On a échangé
Un regard, Un sourire
Ville
Paris, France
Type de transport
Métro
Ligne n°
4
Terminus
Bagneux
Wagon
Milieu
Je suis un
Homme
Cheveux
Châtains
Coupés
Courts
Yeux
Bleus
Peau
Blanche
Taille
Même taille
Tu es une
Femme
Cheveux
Blonds
Coupés
Mi-Longs
Peau
Blanche
Tu m’as tapé sur l’épaule pour me dire que toi aussi tu avais ce numéro du Monde diplomatique dans ton sac. J’ai un peu paniqué et pas su quoi dire pour enchaîner. On s’est échangé un sourire quand tu es descendu à Alésia. Je regrette de ne pas t’avoir plus parlé ou proposé un verre
Tu es montée quelque-part entre Les Halles et Gare du Nord sur la ligne 4. Un casque noir Marshall fixé sur les oreilles, vêtue d’un haut blanc simple, d’une banane en travers et d’un jog fluide foncé. Ton allure était simple et maîtrisée et l’énergie que tu dégageais était envoûtante pour moi.Instantanément, mon regard s’est posé sur toi. Il m’a fallu quelques instants pour comprendre que je ne faisais plus attention à rien d’autre qu’à ta présence. Je n’avais aucune certitude quant à une certaine réciprocité de cet attrait jusqu’à ma sortie, Gare du Nord. Là, j’ai cherché ton regard et tu me l’as rendu directement, accompagné d’un immense sourire qui m’a totalement figé de joie. Je me suis retourné plusieurs fois pour recevoir encore et encore ce magnifique sourire, jusqu’à temps que je disparaisse dans les tunnels de la station et que le métro redémarre.Je regrette de ne pas avoir eu la présence d’esprit de te laisser un mot, trop préoccupé par mes doutes..
Je suis à la recherche d'une fille avec laquelle on a croisé nos regards dans la 4 entre saint Michel et saint sulpice. Elle est descendue à Saint sulpice et je n'ai pas eu le temps de lui demander son insta.
Bonjour, On a échangé de longs regards furtifs et lumineux. Je n'ai pas osé t'aborder. Je suis brun et frisé, je portais un blouson clair. Je t'ai vu sortir malheureusement trop tard du métro, j'aurais aimé te rattraper pour te dire à quel point ta robe te va à merveille.
8h50-8h55 ce matin, je monte aux Halles, tu es déjà assise sur le coin de la banquette pour 3. Le métro est un peu bondé, quelques personnes entre nous mais pas trop grandes heureusement. C'est moi qui pose en premier le regard sur toi. Tu regardes droit devant toi. Légèrement rêveur et porté par la musique de mon casque, je te contemple plusieurs secondes, puis je dois me mettre à esquisser un sourire ... de plus en plus marqué. Ton regard baisse, puis se tourne vers moi. Je ne baisse pas les yeux tout de suite, et tu me renvoies un très léger sourire, et je découvre un regard noisette qui me transperce la poitrine de part en part ! Je baisse les yeux, mais sens encore ton regard posé sur moi, ça m'encourage à relever les yeux, et là, je n'ai pas rêvé, tu es bien là, j'ai du lâcher un petit bruit, en inspirant, médusé devant une telle beauté, faite d’ingrédients très simples, mais dont l'alchimie était d'une puissance incroyable. Nos regards ne se sont pas lâchés, nous sourions à tour de rôle, j'ai l'impression que tu entends toutes mes pensées, les mots doux que j'ai envie de te sussurer a l'oreille, j'ai l'impression que tu lis en moi, que nous sommes en pleine conversation et que nous nous sommes toujours connus. Nos regards se lachent par instants, et reprennent de plus belle à 3 ou 4 (ou 10) reprises, le temps s'arrête, je suis sur un petit nuage de bonheur intemporel. Arrive Odéon, le dernier neurone pas focalisé sur toi m'enjoint de descendre avec toute la foule, je ne revois pas ta jolie frimousse, même a travers la vitre du métro qui repart...Je réalise seulement a cet instant que je n'ai pas eu la présence d'esprit de griffonner mon numéro sur un bout de papier. Est-ce que j'aurais eu le courage de t'approcher et de te le glisser dans les mains en bredouillant un compliment vague et maladroit ? Je pense que ouiJ'ai passé les 2 heures qui ont suivi a me demander ce que je t'aurais dit. Puis je t'ai guettée à chaque coin de rue toute la journée, je me suis demandé quel était le son de ta voix, à quel point tes mains parfaites étaient douces, quel parfum tu portais ?J'aimerais beaucoup te revoir et continuer notre conversation, mais avec des vrais mots, que tu me fasses découvrir qui tu es, les endroits que tu aimes, ce qui te fait vibrer. Tu as juste rallumé une flamme dans mon coeur, je n'avais rien ressenti de tel depuis je ne sais même plus quand.Ecris-moi, belle inconnue du metro, je t'embrasse tendrement
En ta présence, mes yeux se sont posés sur toi, et pourtant, je n'ai pas osé m'approcher. Je suis un jeune homme à la peau mate, les cheveux soigneusement attachés, revêtu d'un manteau gris. En te voyant, ma sœur en Islam, coiffée d'un voile et parée d'un casque, j'ai hésité à troubler ta quiétude.En somme, je me suis trouvé démuni face à l'incertitude de la meilleure approche. À t'observer, j'ai ressenti une émotion singulière, une curiosité aiguë comme si quelque chose émanait de toi, sans que je ne sache explique quoi exactement. Si par hasard, l'idée de bâtir quelque chose dans la droiture et le licite te séduit, je lance cette bouteille à la mer, espérant que mon message te parvienne.Sur ce site, j'utilise un pseudonyme, et tu es bienvenue à me contacter, toi ou ton mahram, via ce mail : [email protected].
Tu es entrée dans le wagon et tu t'es assise juste à coté de moi dans le carré en queue de train. Grande, châtain, classe, manteau jaune et bottines pointues... nos regards se sont croisés. Nous étions serrés l'un contre l'autre... En sortant aux Halles à 7h38, tu m'as indiqué qu'un de mes gants avait glissé sur le sol, et nos regards se sont croisés à nouveau. J'aurais du sortir du wagon ave toi et t'adresser la parole. J'en mourrais d'envie...
Tu m'as proposé la place assise à coté de toi, mais une grosse dame endormie avec son sac à dos en occupait la moitié. Je t'ai souri et je me suis assis en face de toi. Nous nous sommes regardés à la dérobée pendant que tu regardais ton tel. Tu es sortie vers 22h15 à Barbès, et tu t'es retournée sur le quai en me regardant. J'aimerais te revoir.
Vous êtes descendue à la station de métro Barbès Rochechouart...je vous ai attendu à la station suivante...Si la différence d'âge ne vous fait pas peur, une belle histoire d'amour nous attend . Leon-David
Tu es descendu du train en provenance de Bordeaux, moi aussi. Arrivé vers 23h. Avec beaucoup d'assurance tu fendais la foule des voyageurs puis tu t'arrêtais de temps en temps pour apprêter ton panier que tu tenais à l'épaule, et repartait en roulant une petite valise. Tu avais beaucoup de classe et je t'ai remarqué parmi tous ce monde. Je pariais sur le fait que tu passais le weekend à Paris. Tu me paraissait enchantée. Pendant plusieurs minutes nous avons marché au coude à coude et je sentais ta présence. Sans le savoir, nous allions dans la même direction. À plusieurs reprises nous nous sommes éloignés car tu préférais ne pas prendre les escalators. Arrivé sur les quais de la ligne 4 je me suis retourné et tu es arrivée. Tu étais rayonnante et je me suis retrouvé devant toi, arrêté net complètement hébété. Je crois que je t'ai souris sans trop comprendre. Je me suis assis dans la rame. Tu t'es assise a côté de moi. J'étais presque paralysé et le temps s'est arrêté. Je t'ai regardé dans le reflet d'une vitre et tu as soutenue mon regard. Je n'osais presque plus bouger. Toutes mon attention était porté vers toi. Une secousse dans le métro et un millimètre de ma peau a effleuré un millimètre de la tienne. Une sensation assez vive, comme électrique, ma traversé le corps. Je suis descendu à Châtelet avec ma valise en carton à la hâte comme extrait de ce moment de douce torture pour poursuivre ma route. Les jambes en compote et la sensation d'avoir oublié quelque chose, j'ai continué mon chemin. D'ailleurs, quelques jours après la sensation demeure. Je crois que c'était vraiment le coup de foudre. L'envie de l'écrire ici pour que tu puisses le savoir un jour qui sait si tu te reconnais.
On s’est échangé des sourires, je suis descendu à châtelet. J’étais avec ma valise. Je n’ai aucune idée de pourquoi je ne suis pas venue te voir j’ai instantanément regretté. T’avais l’air aussi peu confiante que moi mdrrrPS: pour la couleur des yeux j’avoue c’est totalement au hasard je suis pas un aigle.
Superbe black coupe afro châtain, pantalon rouge, haut jaune, sourire éblouissant.. regard charmeur, pour grand brun, yeux bleus, chemise bleue... Face à face dans le métro... regards.... sourires... genoux.... jusqu'à Barbès.... puis regards depuis le quai... sourires aussi... envie...
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