Tu étais nice et j’ai juste regretté de ne pas avoir répondu à ton sourire !
Date
vendredi 3 novembre 2023
Heure
Soir, Entre 22h00 et 23h00
On a échangé
Un regard
Ville
Paris, France
Type de transport
RER
Ligne n°
A
Terminus
Boissy Saint Léger
Je suis une
Femme
Tu es un
Homme
Cheveux
Bruns
Coupés
Mi-Longs
Yeux
Marrons
Peau
Blanche
Signes distinctifs
Une saccoche
Ce moment me hante un peu, alors je tente ici.Je ne pensais pas poster ici un jour, mais j’ai vécu un de ces moments rares et intenses… Mercredi 21 mai aux heures de pointes du soir, il est 17H45, Tu es monté à Saint-Lazare alors que j’étais assise sur un strapontin. Tu t’es assis à côté de moi, et quelques instants plus tard, tu m’as discrètement montré un message sur ton téléphone : je te plaisais, tu voulais mon contact.Sur le coup, par surprise (ou par bêtise ?), j’ai refusé… alors que j’ai ressenti une vraie connexion. Un mini coup de foudre, en silence, en quelques minutes. Tu m'as dit que tu n'avais pas de temps à perdre et tu as raison. Tu es descendu à Place de Clichy, et moi je suis restée là, avec ce sentiment de t’avoir laissé filer.Si tu te reconnais, ou si quelqu’un te reconnaît… j’aimerais avoir une seconde chance pour te répondre autrement.
tu étais grand châtain pantalon bleu t-shirt blanc avec un sac lacoste tu étais avec ta mère et moi j’étais avec mon petit frère ma mère, je suis blonde avec les yeux bleus mince avec une jupe blanche et un débardeur noir avec un sac noir. on est monté à châtelet et le train nous a obligé a descendre à denfert et tu es monte dans le train direction massy
Je t’ai croisé dans le RER A – Gare de Lyon (Direction Boissy-Saint-Léger) – Le 30 juin vers 20h45.Je descendais à Gare de Lyon ( je suis une brune à lunettes), tu montais. On s’est croisé du regard, quelques secondes à peine… mais tu m’as marquée.Toi : Environ 1m80 Yeux verts ou bleus, Cheveux châtains bouclés, trop stylé Chemise bleue rentrée dans un pantalon bleu marine Silhouette élancée, style simple mais très soignéSi tu te reconnais (ou si quelqu’un te reconnaît)… viens me retrouver ici ☺️
Plusieurs échanges de regards. J'aurais du laisser mon numéro lorsque je t'ai vu prendre ton sac car tu sortais à la station d'après. Tu t'es levé et m'as regardée. J'aurais du soit te parler soit sortir la rame ...
À toi, le grand brun à la barbe soignée, au regard et sourire doux, croisé ce vendredi 13 juin 2025 vers 23:20.. à la station Chaussée d’Antin – La Fayette (Si ma mémoire ne me fait pas défaut.. car j’étais un peu pressée et dans la lune après t’avoir croisé)Il y avait du monde, beaucoup de monde. Moi, je descendais les escaliers en poursuivant ma chère maman qui marchait bien trop vite haha.. pour changer de quai a fin de rejoindre la direction opposée, et toi, tu remontais avec la foule vers le quai que je quittais. Dans ce flot dense, tu m’as vue hésiter, pour passer au milieu de toutes ces personnes et tu t’es gentiment arrêté, tu m’as laissé passer avec une politesse rare.. un geste simple, mais d’une élégance qui m’a touchée. On s’est regardés, je t’ai souri et remercié. Il y a eu un petit quelque chose (de mon côté). Ce genre de moment suspendu, discret, mais chargé de douceur..Puis tu es sorti sur le quai en face du mien.. On s’est croisés une dernière fois du regard à travers les vitres du métro, puis ton métro est parti. Et depuis, j’ai repensé à toi plusieurs fois..c’était un moment adorable.Tu portais un t-shirt noir avec une inscription blanche. Tu es grand, autour d’1m90, je dirais.. cheveux soigneusement coiffés, barbe impeccable, regard profond. Tu ressemblais Raymond Ablack, si jamais ça t’aide à te reconnaître.Alors, si ce moment t’a un petit peu marqué toi aussi, fais-moi signe.
On s’est croisé pour la première fois le samedi 6 juin vers 15h30, nos regards se sont beaucoup croisés et un moment tu as enlevé ton bonnet sous lequel tu avais des tresses, dans le métro ligne 13, je suis descendue à Mairie de Clichy et en sortant on s’est adressé un sourire. Aujourd’hui, le 9 juin, en rentrant dans le métro 13 à saint lazare toujours en direction de Asnières-Gennevilliers, tu étais de nouveau là, ce qui est assez fou puisque que ce n’était pas le même wagon, on s’est regardé un peu plus longuement cette fois ci, et tu as fait la même chose, tu as enlevé ton bonnet sous lequel tu as des tresses. De nouveau, je suis descendue avant toi, à Mairie de Clichy, et avant de descendre on s’est souri. Ton regard est captivant (et tes tresses sont très belles), j’aurai aimé pouvoir te le dire en face, bien que je ne sois pas sûre d’en être capable, alors si tu me croises de nouveau et que tu vois ce message, viens me parler si tu en as l’envie, ou envoie moi un message directement, je n’arrive pas à penser à autre chose depuis aha. Comme on dit, jamais deux sans trois, j’espère alors pouvoir te recroiser un jour
Je suis montée dans le métro à la station Hôtel de Ville. Je portais une jupe longue et une veste noires, avec un haut bleu. Blond, aux yeux bleus, tu étais adossé contre la porte du fond, en train de lire un livre. Nous nous sommes regardés, puis je me suis placée devant toi. Nos regards se sont recroisés dans la vitre du métro, et tu m’as souri. Tu es descendu à la station suivante (Châtelet). Nous avons échangé un dernier coup d’œil quand tu étais sur le quai. J’ai voulu descendre mais je n’ai pas osé.
Tu montes à Saint-Lazare, je crois. Tu discutes avec un autre mec. Je te regarde, tu me troubles... Je suis assise sur un strapontin, tu t’assieds à côté de moi, tu sors ton portable et tu écris. Tu me fais signe pour me montrer ce que tu as écrit : je te plais, tu me demandes mon contact. Je ne sais pas pourquoi, mais je me défile… et je le regrette aussitôt. Tu me dis qu’on n’a pas de temps à perdre. Tu descends à Place Clichy. Oui, tu as raison : on n’a plus de temps à perdre. J’aimerais tellement te le dire…
Nous avons partagé le même wagon pendant plusieurs stations. En sortant à Montparnasse et en échangeant un sourire, j’ai compris ma bêtise. Si je n’avais pas un train à prendre je serai immédiatement remontée dans le wagon pour te parler
Je suis rentrée à invalides dans la ligne 8, une personne nous séparait, j'ai plongé dans ses yeux sans comprendre ce qui se passait...je suis descendue à concorde....et depuis je me dis que j'aurais du rester quelques stations de plus ;))
On ne s’est pas parlé, mais je n’arrête pas de penser à toi. Ce soir-là, en rentrant du boulot , je me suis assise en face de toi dans le métro.Nos regards ne se sont pas lâchés tout le trajet. Tu es descendu avant moi à ( porte de choisy) et ce dernier regard que tu m’as lancé (comme un au revoir que tu ne voulais pas vraiment faire) m’a profondément marquée. Et si toi aussi, tu as ressenti cette connexion silencieuse, fais-moi signe. Je serais ravie de te revoir, cette fois autrement… et de te parler.
J’étais sur le quai à parler avec une pote au téléphone avec mes écouteurs et il est arrivé devant moi, on a échangé quelques regards mais j’étais pas sûre qu’il me regardait vraiment haha. Ensuite il est rentré dans le train et s’est assis mais moi je descendais au prochain arrêt donc je suis restée debout devant la porte. (Ptn j’aurais dû aller m’asseoir aussi…) et on a continué à s’échanger des regards pendant tout le trajet. Il y avait beaucoup de monde et je suis sortie à Gare du Nord et par la fenêtre, lui tjrs assis et moi en train de marcher, on s’est de nouveau regardés et on s’est mutuellement souris. Si tu passes par là, sache que tu étais très mignon et j’aurais tellement dû venir te parler pour au moins savoir ton prénom 🙃
Aucun crush similaire pour le moment
Réinitialiser