On a échangé quelques regards mais je n’ai pas osé t’aborder

Tu étais avec tes amis . Nos regards se son croisés . L’envie folle de venir t’aborder . Nous sommes étrangers . Je rentrais du travail .

À toi qui s’est apprêtée dans le métro, ajuster tes boucles noires. À toi qui m’a regardée de tes grands yeux noirs. À toi qui m’a souri bien sûr et rigolée en balançant la tête au rythme de la musique. À toi avec qui je n’ai pas su parler… Le matin est si compliqué… À toi, à bientôt

Assis sur un des deux strapontins faisant face à la sortie vers 17h30 sur la ligne 3, je te vois apparaître sur le quai à la station saint Lazare, ta beauté est saisissante, je te regarde mais une fois assise à côté de moi, j’évite ton regard à tout prix afin d’éviter toute lourdeur devenue si habituelle. Deux stations plus tard à opéra, je me lève du haut de mes 1m90 et te quitte avec grand regret tout de noir vêtu en tee shirt avec un tatouage sur le bras, j’espère que tu m’auras remarqué comme je t’ai remarqué.

Je t’ai regardé dans les yeux quand tu étais assise en attendant le métro sur la 8 direction créteil à Opéra. Dommage qu’il y avait tant de monde pour pouvoir t’aborder mais je pense que tu sauras qui je suis.

Nous sommes montés dans le métro 6 à la Station Bir Hakeim. Vous avez bâillé… Je vous ai dit que c est contagieux… Vous m avez répondu que c est bon pour la santé… Vous m avez souri…

Environ 23h00 dimanche 8 septembre 2024 sur la ligne 10 direction Boulogne. Je monte à Maubert Mutualité après une soirée avec des amis. Quelques stations plus tard une fille aux cheveux blonds et aux yeux bleus monte dans la rame. Elle s’installe dans un carré où sont déjà installées deux autres personnes. Depuis le strapontin sur lequel je suis assis, les jambes croisées avec nonchalance, je tente de la regarder discrètement tant je la trouve jolie. A la station suivante, le carré d’à côté se vide et elle s’y déplace pour avoir plus de place d’autant plus qu’elle a un sac à dos avec elle (elle semble rentrer de week-end). Je tente d’initier un contact visuel mais son regard semble indiquer qu’elle ne veut pas être dérangée. Quand arrive ma station, La Motte Picquet Grenelle, je me lève pour descendre et en m’approchant de la porte je me rapproche d’elle. Cependant elle m’intimidait beaucoup. Le métro s’arrête, devant moi un couple n’arrive pas à ouvrir la porte. Pensant que la porte ne s’ouvrait pas je m’apprêtais à sortir par une autre porte quand elle s’ouvrit enfin. Une fois sur le quai, le métro repart, je tente un dernier regard en direction de la fille et je me rends compte qu’elle me regarde également. Je tente un sourir, elle me sourit en retour. Un sentiment à la fois doux et amère m’envahit, ma montre indique 23h15. J’ai les cheveux courts bruns, les yeux turquoises, je portais un pull en laine noir, un collier argentin, une montre en cuir noir, un jean noir et des chaussures en daim noires (j’aime bien cette couleur)

Tu m’as tapé sur l’épaule pour me dire que toi aussi tu avais ce numéro du Monde diplomatique dans ton sac. J’ai un peu paniqué et pas su quoi dire pour enchaîner. On s’est échangé un sourire quand tu es descendu à Alésia. Je regrette de ne pas t’avoir plus parlé ou proposé un verre

Nous nous sommes croisés dans le métro ligne 9 le 24 août entre 18h50 et 19h10. Vous étiez debout adossée sur la porte et moi assis sur le strapontin. Je vous ai demandé si vous étiez « A… ». Vous m’avez répondu « non ». Pour mémoire vous êtes sortie à la station Miromeslin. En sortant vous m’avez fait un tres beau sourire. Je regrette de n’avoir pas plus parlé avec vous pour faire connaissance plus amplement. J’aimerais beaucoup vous revoir et vous connaître si vous le souhaitez bien sûr. En espérant vous retrouver ici qui sait ?

Au départ de la station Charles de Gaulle-Étoile, j’étais assis dans l’un des carrés de quatre places que comporte le métro 6, et vous étiez dans ce carré sans toutefois être assise en face de moi.J’ai repéré que vous lisiez « Aurais-je été résistant ou bourreau ? », de Pierre Baillard. Si vous n’avez certes quasi pas levé la tête et que vous étiez tantôt absorbée par votre livre, tantôt absorbée par votre téléphone, je vous ai quelque peu observé et j’ai décelé dans votre personne un charme, une beauté, et une joliesse absolues, couplés, surtout, d’un un flegme et d’un sérieux apparents, ce qui m’incite à jeter cette bouteille à la mer.Pour mémoire, vous êtes descendue à la station de métro Saint-Jacques.Si vous vous reconnaissez, et si vous le souhaitez, je vous saurais gré de me faire signe.

on a échangé quelques mots et j’ai vraiment apprécié ces moments avec toi ! Ce serait un plaisir de te retrouver ! Julien

En descendant de la rame de la ligne 1 à Hôtel de Ville direction La défense, et pendant que tu descendais aussi, nous sommes tombés quasiment nez à nez, puis nous sommes allés prendre la ligne 11. Nous sommes montés en tête de la rame. Tu es blonde, tu portais des lunettes, une jupe noire et des sneakers VEJA WHITE BLACK, et aux épaules un sac à main et un ptit sac de sport. Tu avais les cheveux attachés (chignon) et des écouteurs blancs. Nous avons pris la ligne 11 direction Rosny-Bois-Perrier à Hôtel de ville après minuit ce mardi 13 août. Tu es descendue à BELLEVILLE en prenant la sortie en tête de la rame. Je n’ai pas osé t’aborder, ce que je regrette grandement aujourd’hui. Si tu te reconnais ou que cette bouteille à la mer arrive jusqu’à toi, sache que je serai extrêmement ravi d’échanger avec toi

T’est monté sur le rer B depuis Gare du Nord, on était débout face to face, j’ai essayé de croiser ton regard plusieurs fois… Tu portais une jupe courte noire avec un top blanc. T’est vraiment magnifique. Le rer blindé, j’avais l’impression que les autres mecs te regarde aussi.