Paris, ligne 12. Tu es un bel homme, tu portais une veste beige, un pull over et des baskets blanches. Âge peut-être 35 ans, une petite barbe de 3 jours, les cheveux rasés (presque boule à zero. Je suis montée à station Volontaires et me suis assise en face de toi dans le métro et tu as souri. Après tu utilisais parfois ton portable et parfois non, j'avais l'impression que tu me jetais des regards. Moi j'essayais de te regarder discrètement mais j'étais trop timide pour sourire ou tenir ton regard. J'ai mangé un chocolat devant toi. Je portais une chemise beige, mon manteau dans mes mains, une queue de cheval, un collier et du vernis à ongles rouge. Parfois nos genoux s'effleuraient. On est descendus tous les deux a St Lazare mais tu es parti de ton côté. J'aurais aimé que tu viennes me parler et que tu me demandes mon numéro pour qu'on puisse peut-être se revoir.

« Monsieur » Si j’ai un mince espoir de retrouver votre / ta trace, j’en serais vraiment heureuse (y compris pour une amitié). Je suis celle à qui tu as demandé des renseignements sur les nouveaux pass Navigo (tickets de métro), à une borne de la station Les Halles (ligne 4). Ce à quoi j’ai instantanément répondu « je ne sais pas trop, je suis une quiche en Pass Navigo » (comme si c’était une discipline universitaire, haha…). Nous avons ensuite plaisanté au sujet de la merveilleuse carte en plastique délivrée par la machine. Le mystère résolu, ton nouveau pass en main, tu as filé vers le quai. Mes tickets « digitaux » en poche, je suis à mon tour descendue pour prendre le métro direction Gare du Nord. J’espérais pouvoir t’y retrouver, car je t’ai immédiatement trouvé charmant. Et ce fut le cas. Nous avons de nouveau échangé quelques mots. Telle une aristocrate qui ne prend jamais le métro, j’ai désespérément cherché le mot « portique ». Je t’ai alors dit « ne pas avoir le champ lexical de la RATP et de la SNCF ». Nous sommes ensuite montés dans le même wagon. Le silence s’est alors imposé à nous, mais j’aurais tellement voulu échanger encore quelques mots avec toi. Alors pour me consoler, je me suis contentée de te jeter des coups d’œil furtifs. J’admirais tes Doc Martens (ma marque fétiche), les doux contours de ton visage. Tu m’as fait penser au groupe Taxi Girl, mais c’est inconscient puisque ce groupe est connu pour son titre « Chercher le garçon ». Je suis descendue à la Gare du Nord, à regret… et t’ai alors souhaité « bon voyage » de manière enthousiaste, pour cacher ma peine de devoir quitter ta route. Tu m’as beaucoup plu, mais je ne veux pas t’effrayer… Je saurai rester sage si nous nous rencontrons de nouveau. Simplement, j’ai adoré ta façon de parler, ton regard et ta voix caressante. Et je suis sûre que tu es une belle âme… Mira

Hey! On s’est croisé dans la ligne 3 ce dimanche 16/02, on est descendus à Saint-Lazare quand tu as complimenté mon écharpe. J’allais au travail et toi chez un ami.

Salut on s est croises en mode sportif tt a l heure a porte de charenton. Jaurais du venir te parler mais je n ai pas ose

Je suis rentrée avec ma béquille, tu m'as laissé ta place, on s'est regardé dans le reflet de la vitre en face, quand je suis sortie à Laumière, je me suis retournée, toi aussi, et on s'est sourit (ce sourire était ravageur), j'ai regretté ne pas être restée dans le métro jusqu'au terminus. J'étais avec une amie avec une fourrure violette, on a même repris le métro pour aller à l'arrêt d'après voir si tu y étais. Si tu vois ce msg et que c'était réciproque, écris moi 😊 je ne fais qu'y penser.

Il y a deux ans, nous sommes montés ensemble à Bibliothèque François Mitterand. Deux places dos à dos étaient libres. J’ai pris la première, m’installant jambes tournées vers le couloir, le bras posé sur le dossier derrière moi. Et toi… tu as fait de même, juste après. Comme si c’était un geste évident. Comme si, imperceptiblement, tu cherchais à réduire la distance. Alors, bien que nos sièges nous tournaient le dos, nous étions côte à côte. Tu avais ouvert ton livre, L’Ignorance de Kundera, mais tu ne l’as presque pas lu. Plus d’une fois, j’ai perçu ton regard glisser ailleurs. Puis, à Gare de Lyon, tu es descendu. Tu aurais pu partir sans un mot, sans un geste, sans même te retourner. Pourtant, tu es resté devant les portes, figé un instant, hésitant. Et avant qu’elles ne se referment, tu t’es retourné vers moi. Nos regards se sont accrochés. Alors, dans cette dernière seconde volée au hasard, je t’ai souri. Deux ans ont passé, et pourtant, parfois, ce souvenir me revient. Un instant suspendu, un détail du quotidien qui aurait pu être insignifiant… mais qui, pour une raison inconnue, ne l’a pas été. Si tu tombes sur ce message, alors peut-être qu'on était censés se retrouver.

Nous nous sommes croisés sur la 1 direction la Défense juste avant 13 heures, tu étais debout un livre dans les mains juste à côté de moi. Grand, cheveux châtains mi-longs, veste en cuir marron/noire, tu es descendu à Tuileries si rapidement que je n'ai pas eu le temps de te demander ce que tu lisais En tout cas sache que c'était un joli tableau que de te regarder lire ainsi, en espérant te recroiser un jour :)

Dans ma tête je vous ai surnommé ainsi. Nous nous croisons presque tous les matins à la station Montparnasse sur la ligne 6, en direction de Nation. Je descend à Place d'Italie. Nous nous disons bonjour ca va et bonne journée quand je descend. Avant que le métro ne reparte nous nous adressons un signe de la main et à ce moment là ca se bouscule dans ma tête. J'aimerai échanger plus avec vous mais je suis un peu timide. Si jamais vous tombez sur ce message (même si j'en doute) sachez que la jeune femme brune aux yeux marrons que vous croisez le matin aimerait vraiment apprendre à mieux vous connaître. N'hésitez pas à me répondre A très vite

Nous nous sommes croisés sur la ligne 10, direction Gare d’Austerlitz. Tu m’as offert un bouquin et tu es descendu à Sèvre-Babylone. Tout s’est passé si vite que je n’ai pas eu le temps de te demander un contact! J’aimerais te revoir pour un café si t’est partent!

Nous nous sommes rencontrés aux bornes de rechargement pass navigo. Nous avons ensuite échangé quelques mots dans le métro. Vous alliez à Orly pour prendre un vol pour Toulouse apres une réunion à Paris. Vous travaillez dans la finance. J'allais gare de Lyon prendre le TGV pour Lyon. Si par bonheur vous lisez ce message...je n'ai pas eu le courage de faire différemment.

Nous nous sommes croisés à balard, dans le métro direction Créteil en ce mardi 14 janvier aux alentours de 18h. Tu es rentré avec 2 hommes plus âgés (collègues ?) avec lesquels tu as discuté. J'étais à côté, debout appuyé contre un strapontin avec des écouteurs que j'ai retirés par la suite. Nous nous sommes à plusieurs reprises regardé. J'ai cherché à un moment donné un stylo dans mon sac sans succès. Tu es descendu à la station opera (plus sûr) et je t'ai suivi afin de t'accoster. Je t'ai tiré par le bras, tu t'es retourné puis je t'ai dit que je te trouvais très charmant. Tu m'as remercié puis emprunté les escaliers.

vous m avez gentillement laissé votre place assise , nos regards se sont croises , nous avons souris et vous avez rougi, et si nous pouvions nous revoir?, je suis descendue avant vous station michel ange j etais accompagné