Bonjour, On a échangé de longs regards furtifs et lumineux. Je n’ai pas osé t’aborder. Je suis brun et frisé, je portais un blouson clair. Je t’ai vu sortir malheureusement trop tard du métro, j’aurais aimé te rattraper pour te dire à quel point ta robe te va à merveille.
Date
mardi 9 juillet 2024
Heure
Après midi, Entre 17h00 et 18h00
On a échangé
Un regard, Un sourire
Ville
Paris, France
Type de transport
Métro
Ligne n°
4
Wagon
Milieu
Je suis un
Homme
Tu es une
Femme
Délicieux moment partagé ce matin entre la gare du nord et montparnasse où nos chemins se sont séparés. J'espère avoir de nouveau la joie de vous revoir
vous 40 50 ans descendu reaumur Sébastopol montée 2 ou 3 stations avant , vous gants bleu pétrole, jupe collant et bottes noires nous avons échangé quelques mots je vous ai laissé le siège, politesse française, vous m'avez rendu cette politesse à reaumur sebastopol. Vous revoir ?
Bonjour, nous nous sommes croisé sur la ligne 4, je suis monté à Montparnasse et vous êtes descendu à gare de l'est il me semble. J'étais habillé en sombre et avais mon sac de voyages vert kaki, nous étions adossé tout les deux à la porte... Vous m'avez intrigué et je voudrais faire votre connaissance, très simplement, j'ai envie de vous retrouver
On s’est croisé dans un premier temps sur la ligne 4 et ensuite on a pris la 1. Tu as descendu à Argentine ! Je me souviens qu’il y avait quelques regards et je crois que tu m’avais fait un sourire…. J’ai détourné le regard par timidité …. Je sais que c’est un message qui ne sera peut être jamais lu mais qui sait ??
Nous nous sommes croisés d'abord dans le RER A, tu es montée à Vincennes. Puis nous nous sommes retrouvés à Châtelet sur la ligne 4 direction Bagneux. Je suis descendu à Odéon, on a échangé un regard et un sourire.
Tu étais en face de mois..Nous nous sommes échangés des regards, et quelques sourires un peu timides... Je te trouve craquante et aurais aimé avoir pu échanger quelques mots..
Tu m’as tapé sur l’épaule pour me dire que toi aussi tu avais ce numéro du Monde diplomatique dans ton sac. J’ai un peu paniqué et pas su quoi dire pour enchaîner. On s’est échangé un sourire quand tu es descendu à Alésia. Je regrette de ne pas t’avoir plus parlé ou proposé un verre
Tu es montée quelque-part entre Les Halles et Gare du Nord sur la ligne 4. Un casque noir Marshall fixé sur les oreilles, vêtue d’un haut blanc simple, d’une banane en travers et d’un jog fluide foncé. Ton allure était simple et maîtrisée et l’énergie que tu dégageais était envoûtante pour moi. Instantanément, mon regard s’est posé sur toi. Il m’a fallu quelques instants pour comprendre que je ne faisais plus attention à rien d’autre qu’à ta présence. Je n’avais aucune certitude quant à une certaine réciprocité de cet attrait jusqu’à ma sortie, Gare du Nord. Là, j’ai cherché ton regard et tu me l’as rendu directement, accompagné d’un immense sourire qui m’a totalement figé de joie. Je me suis retourné plusieurs fois pour recevoir encore et encore ce magnifique sourire, jusqu’à temps que je disparaisse dans les tunnels de la station et que le métro redémarre. Je regrette de ne pas avoir eu la présence d’esprit de te laisser un mot, trop préoccupé par mes doutes..
Je suis à la recherche d'une fille avec laquelle on a croisé nos regards dans la 4 entre saint Michel et saint sulpice. Elle est descendue à Saint sulpice et je n'ai pas eu le temps de lui demander son insta.
8h50-8h55 ce matin, je monte aux Halles, tu es déjà assise sur le coin de la banquette pour 3. Le métro est un peu bondé, quelques personnes entre nous mais pas trop grandes heureusement. C'est moi qui pose en premier le regard sur toi. Tu regardes droit devant toi. Légèrement rêveur et porté par la musique de mon casque, je te contemple plusieurs secondes, puis je dois me mettre à esquisser un sourire ... de plus en plus marqué. Ton regard baisse, puis se tourne vers moi. Je ne baisse pas les yeux tout de suite, et tu me renvoies un très léger sourire, et je découvre un regard noisette qui me transperce la poitrine de part en part ! Je baisse les yeux, mais sens encore ton regard posé sur moi, ça m'encourage à relever les yeux, et là, je n'ai pas rêvé, tu es bien là, j'ai du lâcher un petit bruit, en inspirant, médusé devant une telle beauté, faite d’ingrédients très simples, mais dont l'alchimie était d'une puissance incroyable. Nos regards ne se sont pas lâchés, nous sourions à tour de rôle, j'ai l'impression que tu entends toutes mes pensées, les mots doux que j'ai envie de te sussurer a l'oreille, j'ai l'impression que tu lis en moi, que nous sommes en pleine conversation et que nous nous sommes toujours connus. Nos regards se lachent par instants, et reprennent de plus belle à 3 ou 4 (ou 10) reprises, le temps s'arrête, je suis sur un petit nuage de bonheur intemporel. Arrive Odéon, le dernier neurone pas focalisé sur toi m'enjoint de descendre avec toute la foule, je ne revois pas ta jolie frimousse, même a travers la vitre du métro qui repart... Je réalise seulement a cet instant que je n'ai pas eu la présence d'esprit de griffonner mon numéro sur un bout de papier. Est-ce que j'aurais eu le courage de t'approcher et de te le glisser dans les mains en bredouillant un compliment vague et maladroit ? Je pense que oui J'ai passé les 2 heures qui ont suivi a me demander ce que je t'aurais dit. Puis je t'ai guettée à chaque coin de rue toute la journée, je me suis demandé quel était le son de ta voix, à quel point tes mains parfaites étaient douces, quel parfum tu portais ? J'aimerais beaucoup te revoir et continuer notre conversation, mais avec des vrais mots, que tu me fasses découvrir qui tu es, les endroits que tu aimes, ce qui te fait vibrer. Tu as juste rallumé une flamme dans mon coeur, je n'avais rien ressenti de tel depuis je ne sais même plus quand. Ecris-moi, belle inconnue du metro, je t'embrasse tendrement
En ta présence, mes yeux se sont posés sur toi, et pourtant, je n'ai pas osé m'approcher. Je suis un jeune homme à la peau mate, les cheveux soigneusement attachés, revêtu d'un manteau gris. En te voyant, ma sœur en Islam, coiffée d'un voile et parée d'un casque, j'ai hésité à troubler ta quiétude. En somme, je me suis trouvé démuni face à l'incertitude de la meilleure approche. À t'observer, j'ai ressenti une émotion singulière, une curiosité aiguë comme si quelque chose émanait de toi, sans que je ne sache explique quoi exactement. Si par hasard, l'idée de bâtir quelque chose dans la droiture et le licite te séduit, je lance cette bouteille à la mer, espérant que mon message te parvienne. Sur ce site, j'utilise un pseudonyme, et tu es bienvenue à me contacter, toi ou ton mahram, via ce mail : [email protected].
Tu es entrée dans le wagon et tu t'es assise juste à coté de moi dans le carré en queue de train. Grande, châtain, classe, manteau jaune et bottines pointues... nos regards se sont croisés. Nous étions serrés l'un contre l'autre... En sortant aux Halles à 7h38, tu m'as indiqué qu'un de mes gants avait glissé sur le sol, et nos regards se sont croisés à nouveau. J'aurais du sortir du wagon ave toi et t'adresser la parole. J'en mourrais d'envie...
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