Nous nous sommes croisés dans les escaliers, tu t’es retourné et je t’ai souri tu t’es arrêté tu m’as souri je suis acheté un ticket je t’ai retrouvé sur le quai tu m’as souri. Je suis monté avec toi dans le wagon tu m as regardé et je ne t’ai pas abordé
Date
jeudi 26 septembre 2024
Heure
Après midi, Entre 17h00 et 18h00
On a échangé
Un regard, Un sourire
Ville
Paris, France
Type de transport
Métro
Ligne n°
8
Terminus
Creteil
Wagon
Tête
Je suis un
Homme
Tu es une
Femme
Cheveux
Châtains
Coupés
Mi-Longs
Yeux
Bleus
Peau
Blanche
Je t'ai regardé dans les yeux quand tu étais assise en attendant le métro sur la 8 direction créteil à Opéra. Dommage qu'il y avait tant de monde pour pouvoir t'aborder mais je pense que tu sauras qui je suis.
Je suis à ta recherche, toi qui m’a gratifié de quelques regards avant de descendre à École Militaire. Je proposais à une dame âgée juste à côté de toi de s’asseoir à une place qui s’est libérée dans mon dos. J’avais l’esprit un peu ailleurs et je regrette de ne pas être venu te voir. Permet moi de corriger cette erreur…
Je t'ai rencontré sur la ligne 8 entre Faidherbes et République, la station où je suis descendu. On était l'un en face de l'autre. J'étais avec un ami, mais j'avais du mal à ne pas te regarder et à échanger des sourires avec toi. Il y avait un groupe de rugbymen à côté de nous. Tu étais habillée avec un pantalon noir en cuir, des sneakers blanches et un haut noir avec des motifs blancs. J'avais un pantalon gris foncé, des sneakers avec plusieurs couleurs, un pull gris clair et une surchemise bleu foncé. En espérant pouvoir échanger plus de sourires avec toi.
J’ai complètement flashé. Le métro était full comme d’hab et tu es venue te mettre si près de moi ( de dos) que jnetais en déséquilibre dans le carré du fond, on s’est regardés plusieurs fois. Je suis descendu à la motte picquet et tu es restée à bord. Je me suis dit mais pourquoi tu ne lui as pas donné ta carte de visite ? Peut être parce que je n’ai plus de carte de visite foutue digitalisation ! Je suis grisonnant quand même il faut le dire. Tu es magnifique.
Atteint de la maladie du siècle, la timidité, je n’ai pas réussi à répondre à vos regards. Me voici donc porteur à présent de la jolie maladie de toujours : l’amour au premier regard.! Vous êtes probablement née un certain temps avant moi, mais pour moi..oui, j’ose y croire, sublime jeune femme aux cheveux blonds ! Vous êtes descendue à Latour-Maubourg… Il ne me reste qu’à invoquer le ciel qui vous a.fait prendre ce transport afin que cette bouteille à la mer trouve sa destinataire et me donner la chance de devenir simplement un homme heureux sur terre !
On a partagé un trajet entre République et Opéra ce matin (9h30). Nos regards se sont croisés, et on s'est échangé des sourires complices pendant une grande partie du trajet. Tu m'as offert un dernier sourire avant de descendre à ta station.Maintenant, je laisse place aux regrets de ne pas avoir osé t'aborder. J'essaie ma chance ici, en espérant qu'on puisse se retrouver
À toi l’inconnue du métro de ce samedi 13 janvier, vers 19h à Paris.On a partagé un bout de trajet dans un métro bondé. C’est dans la ligne 8 direction Balard que nos chemins et nos regards se sont croisés.Je suis descendu à Richelieu - Drouot et c’est là que je t’ai perdu de vue.Notre entrevue n’a pas duré longtemps puisque j’étais monté à l’arrêt Filles du calvaire et c’est maintenant que commence le mien.En effet, ces quelques instants ont suffi pour que je tombe sous ton charme et maintenant je regrette de ne pas t’avoir abordé. Mais je n’ai pas osé et ton regard posé sur moi m’a pétrifié sans comprendre ce qui m’arrivait.J’espère que tu te reconnaîtra. Toi jeune femme brune habillée d’un manteau marron et d’un discret anneau dans le nez. Tu t’es plongée dans le livre d’Annie Ernaux, « la femme gelée » que je me suis empressé d’acheter.Si la vie ne nous donne pas l’occasion de se revoir et d’écrire une histoire de notre vivant au moins on partagera celle de ce roman.Mais je crois aux signes alors je te dis à très vite.Signé l’homme à la doudoune bleue.
Salut , j’aimerais bien retrouver ton instagram pour faire connaissance, vrai jsp si j’aurais du t’aborder car j’aime pas faire ça dans les transports, mais tu ma vrmt taper à l’œil, jsp si c’est réciproque. J’avais mon casque gris , bruns yeux foncés on était debout à côté et toi t’es airpods pro , tu discutais avec une Pauline par msg j’ai vu vite fais, et tu avais les cheveux plaqués et tes ongles fait et t’étais habillée en noir classique il me semble. T’es descendu strasbourg saint denis.
C’était hier. Hier matin. Affairée sur ton téléphone, tu as fini par lever les yeux. C’est là que j’ai vu sortant de visage agréable un regard pénétrant. Aussi je me demande quel serait ta voix. Passerais-tu par ici ?
À toi l’inconnue à la veste rose fluo,Je portais un polo anthracite et un chino marron.Je crois que tu m’as tout de suite remarqué lorsque je suis monté dans ta rame, ligne 10, station Charles-Michel, direction Austerlitz. Nos regards se sont croisés plusieurs fois. Nous sommes ensuite descendus tous les 2 à Motte-Piquet Grenelle pour prendre la 8 sur le quai d’en face, direction Pointe du Lac.Nous étions face à face, nous nous tenions à la même barre. Nous nous sommes encore regardés, troublés. Tu étais si belle et j’aurais voulu que ce moment dure pour toujours.Tu es descendue à Madelaine, je ne te reverrai sans doute jamais.
Quand tu es montée tu t’es t’installée devant moi (j’étais debout devant le strapontin). Au moment de descendre on c’est souri. Tu portais une robe bleue à petit pois blanc.
T-Shirt blanc, jean, tennis blanches, lunettes et cheveux en arrière. Moi en costume, presque en face. Un classicisme partagé. Quelques années d’écart, aussi. Mais tu m’as beaucoup plus.Et si on se croisait de nouveau ?
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