Nous nous sommes croisés dans le métro ligne 4 , tu es entré tu t'es assis en face de moi, le trajet a duré 15 à 20 minutes durant lesquels nous nous sommes jetés de beaux regards intenses mais furtifs, moi la timide je n'arrivais pas à soutenir ton regard trop longtemps. J'ai fini par descendre à la station gare du Nord, nous nous sommes regardés avant que je descende mais aucun n'a osé faire le pas vers l'autre.

Je suis montée dans la 4 à Montparnasse, je ne sais plus si tu y étais déjà ou pas mais à un moment tu étais là, juste à côté de moi, et on s'est immédiatement souri. Tu étais debout, avec ton gros sac au sol, et moi assise en face de toi sur le strapontin. Dès que nos regards se croisaient, le sourire venait, c'était doux et excitant. J'aurais tellement aimé te parler, je n'ai pas osé. Coup de chance, on descendait tous les deux à Réaumur Sébastopol et on prenait tous les deux la 3, nous étions cote à cote dans les escaliers, puis une fois sur le quai on est montés dans des wagons différents. Je t'ai aperçu à travers la paroi vitrée, tu es descendu à République... et moi je suis restée là. Te reverrai-je ?

Nous nous sommes croisés sur la ligne 4 du métro parisien en fin de journée. Juste avant la station Strasbourg-St DENIIIS (pour la ref) ce qui nous a permis d'échanger quelques mots 😉

« Monsieur » Si j’ai un mince espoir de retrouver votre / ta trace, j’en serais vraiment heureuse (y compris pour une amitié). Je suis celle à qui tu as demandé des renseignements sur les nouveaux pass Navigo (tickets de métro), à une borne de la station Les Halles (ligne 4). Ce à quoi j’ai instantanément répondu « je ne sais pas trop, je suis une quiche en Pass Navigo » (comme si c’était une discipline universitaire, haha…). Nous avons ensuite plaisanté au sujet de la merveilleuse carte en plastique délivrée par la machine. Le mystère résolu, ton nouveau pass en main, tu as filé vers le quai. Mes tickets « digitaux » en poche, je suis à mon tour descendue pour prendre le métro direction Gare du Nord. J’espérais pouvoir t’y retrouver, car je t’ai immédiatement trouvé charmant. Et ce fut le cas. Nous avons de nouveau échangé quelques mots. Telle une aristocrate qui ne prend jamais le métro, j’ai désespérément cherché le mot « portique ». Je t’ai alors dit « ne pas avoir le champ lexical de la RATP et de la SNCF ». Nous sommes ensuite montés dans le même wagon. Le silence s’est alors imposé à nous, mais j’aurais tellement voulu échanger encore quelques mots avec toi. Alors pour me consoler, je me suis contentée de te jeter des coups d’œil furtifs. J’admirais tes Doc Martens (ma marque fétiche), les doux contours de ton visage. Tu m’as fait penser au groupe Taxi Girl, mais c’est inconscient puisque ce groupe est connu pour son titre « Chercher le garçon ». Je suis descendue à la Gare du Nord, à regret… et t’ai alors souhaité « bon voyage » de manière enthousiaste, pour cacher ma peine de devoir quitter ta route. Tu m’as beaucoup plu, mais je ne veux pas t’effrayer… Je saurai rester sage si nous nous rencontrons de nouveau. Simplement, j’ai adoré ta façon de parler, ton regard et ta voix caressante. Et je suis sûre que tu es une belle âme… Mira

Nos regards se sont croisés à 13h en tête de métro de la ligne 4. Vous avec votre fils d’environ 7 ans et moi assise de l’autre côté. J’étais en noir avec une veste beige. Nous sommes sortis à Strasbourg st Denis où j’ai du courir…vous ne m’avez pas laissé indifférente

Je recherche un homme d'une trentaine d'années, cheveux châtains courts, assis en milieu de rame avec une valise (il me semble), dans les deux places qui se font face à face, mais il était assis en biais côté couloir. Nous avons échangé plusieurs regards.

Nous nous sommes croisés en fin de journée le mardi 19 novembre sur la ligne 4. Vous teniez une tarte abricot pistache et nous avons échangé quelques mots et des sourires. Je suis descendue trop vite, à la station st placide…

Tu lisais ton livre "Aimer en vérité" en face de moi je te regardais je suis sortie à Odéon sans oser te (re) regarder avant de partir ni te parler. Mais j'aurais voulu ! #timidité

Coucou, tu m’avais laissé ta place dans le métro ce jour-ci, après avoir proposé à un étranger plus âgé, sûrement Américain, s’il voulait s’assoir. Il t’a demandé son chemin et quel pouvait être une station centrale de Paris, je me rappelle tu lui avais dit Châtelet. Je t’avais demandé à quelle station s’arrêter pour la Basilique à Montmartre et tu as cherché sur ton téléphone. On s’est parlé et puis tu es sorti à la station Château d’Eau, Tu es blond aux yeux bleus, plutôt grand. Tu avais l'air cool, si tu as ce message, cela me ferait plaisir de prendre un café-thé, en tout bien tout honneur ; étant moi-même chanteuse, je recherche des collaborations avec des musiciens.

Toi qui m as sourit, j ai pas l habitude de faire ça mais j ai découvert cette appli par hasard c est marrant .. enfin bref je n ai sûrement pas répondu correctement à ton grand sourire franc mais ça c est parce que je suis une bille en interaction sociale ( quelle description de moi dit donc !) j aurai peut être dûe 🤔😅

Je suis rentrée dans le wagon, et je me suis volontairement posée devant toi, debout. Alors que oui, il y avait de la place. Tu portais une casquette donc j'ai à peine vu ton visage. Et puis tu as dit pardon pour descendre, et je me suis retournée pour te regarder et tu m'as souris largement. C'est agréable parfois le métro.

Petit message pour le bg de la @Ligne4_RATP avec son bob bleu, je pense que toute la rame a vu le eye-contact. Vu qu’on doit avoir les ligaments croisés tous les deux, je jette cette bouteille à la mer. Signée la rousse qui est descendue à Châtelet 📨