Tu passes le matin quand j’attends le bus, mais il est 7h du mat, tu pédales dans la montée et je ne parviens pas à t’arrêter…
Date
lundi 5 mai 2025
Heure
Matin, Entre 7h00 et 8h00
On a échangé
Quelques mots
Ville
Bagnolet, Seine-Saint-Denis, France
Lieu ou occasion
A l’arrêt de bus
Je suis une
Femme
Tu es un
Homme
Un mercredi 2 avril vers 17h10 je sortais de la bouche du métro de la station arts et métier ligne 3 et 11 et je tourne ma tête et nos regards se croisent comme dans les films. À ce moment précis j’étais gêné donc j’ai vite détourné le regard. Je finis de monter les escaliers de la bouche du métro et au lieu de continuer mon chemin je m’arrête volontairement sur le côté de la station de métro pour pouvoir t’observer. Tu est rentré à l’intérieur avec rapidité. D’ailleurs quand nos regards se sont croisés marchais plutôt vite tu étais sûrement pressé. Je te vois descendre dans le métro et là j’étais comme bloqué je voulais aller t’aborder mais je n’ai juste pas osé pour je ne sais quelle raison mais tout s’est passé tellement vite c’était une histoire de secondes. Tu est rentré dans la bouche du métro et de là j’ai longuement hésité avant de rerentrer à l’intérieur mais hélas je ne t’ai pas apperçue avait tu déjà pris le métro ou avait tu pris un autre chemin je ne sais pas mais à partir de ce moment je savais que j’étais passé à côté de quelque chose et je regrette de na pas t’avoir aborder. Je doute que je puisse te retrouver ici mais sait-on jamais.
On s’est juste regarder plusieures fois dans le Franprix et après dans la rue et on a pris le même chemin puis tu as pris ta voiture… je suis grande métisse avec des cheveux très long je pense que tu te souviendras. Bref contacte moi j’ai flashé sur toi ✨💖
Il a environ 24 ans. On s’est vu aux urgences de l’hôpital Saint Antoine. Il accompagnait son petit frère. J’étais seule. Il m’a demandé un chargeur et s’en est suivi une longue discussion de 3 heures. Je pense y être arrivé vers 20h et lui 18h. On a longtemps discuté. Je n’en ai pas trop dit sur moi mais il m’a dit travailler sur les toitures. Il a grandi en Égypte et est venu en France quand il était au collège. Il a habié dans le 13e puis a grandi dans le 19e. Malgré les 3 heures passées ensemble, on ne s’est pas demandé nos noms mais avant de se quitter, il m’a tendu son telephone en me demandant mon numéro (pour soi disant me transmettre le nom d’une autre clinique qu’il me recommandait). Le médecin m’a appelé au même moment, j’ai paniqué et mis un mauvais numéro, en plus de cela je n’ai pas rempli mon nom et suis partie. Il a tenté de me rappeler de loin pour avoir mon nom. J’ai repondu que j’allais le lui envoyer par message. Helppp
J'étais perdue, tu étais à contresens sur la piste, je t'ai arrêté pour te demander de l'aide. Je suis repartie dans la bonne direction mais troublée.
Tu as fumé une cigarette avec tes collègues dans la rue devant une entreprise pompe funèbre.
On c'est vu a l'exposition de Zidane a paris (la où il y avait plein d'écran) je te suivais un peu. Puis au musée de la musique je te suivais beaucoup mais je n'ai pas osé te voir
Des que je suis entrée dans ce resto serbe, je t'ai remarqué. Tu étais assis à une table avec 2 autres hommes. Nous avons échangé beaucoup de regards...
On s'est croisé dans le bus 64 puis dans le Uniqlo Printemps. Quelques regards mais dans le doute, a la caisse j'ai fui comme une ado ;)
Blonde 1.70, les cheveux détachés et les yeux verts. J’avais un jean clair et un t shirt noir. J’entrais dans la cour, tu en sortais un carton à la main, ce lundi 25/09. Il était 18h pile, j’allais chez la kiné dans le batiment au fond a gauche… on s’est regardé dans les yeux, et on s’est dit bonjour. Ca m’a perturbée, je me suis retournée mais je ne te voyais plus… puis je t’ai vu dans le hall, je crois que tu me regardais aussi. J’aurai du venir te voir, je ne l’ai pas fait, je le regrette, j’aimerai beaucoup te revoir…
J'espère que tu auras l'idée saugrenue de venir sur ce site internet.
Dans la foule, dans le bruit, dans la moiteur de centaines de corps qui remuaient à l’unisson, dans cette cour parée des couleurs de la France, sous un ciel encore clair malgré l’heure avancée. Ton tee-shirt rouge faisait comme une tache dans la foule, que tu dépassais d’une bonne tête. Une bonne tête de mec qui profite du moment, tignasse et barbe fournie. Tu remues, tu danses, les bras en l’air, les pieds qui martèlent le sol. Tu ne fais pas semblant, ne te retient pas, et j’aime ça, cet homme qui danse vraiment, pour lui. Nous sommes séparés de moins de 2 mètres, et de plusieurs corps en mouvement. Je suis avec des amis, blonde au carré ondulé, débardeur blanc et banane verte. Tu tournes la tête dans ma direction, la détourne, puis immédiatement retourne la tête. Tu me souris. Je te souris. Le bal des pompiers est lancé, la nuit est tout à fait tombée, la cour de la caserne est bondée. Nos groupes se déplacent au gré des mouvements de foule. À nouveau je regarde dans ta direction, ton regard est posé sur moi. Tu te déplaces légèrement pour me faire face, et m’adresses un franc sourire, de la bouche comme des yeux. Je te réponds. J’aime ce jeu, cette franchise distante. Plus tard, je te vois fendre la foule avec les tiens. J’ai le temps, on a le temps. C’est pourtant la dernière fois que je te vois. Je ne reverrai plus cette tête brune ébouriffée dépasser de la foule, je ne reverrai plus ce tee-shirt rouge comme un phare parmi la houle de corps échauffés, je ne reverrai plus ce sourire mutin, engageant, intriguant. J’ai cherché, fouillé dans l’obscurité balayée par les spots, je me suis faufilée parmi les corps serrés pour te retrouver. Perdu de vue. Perdu. Je me décide à quitter le bal avec le dernier ami qui a résisté au ressac de la foule, épuisée, dépitée. Et je me mets à rêver. Et si nous nous retrouvions ?
A toi qui a partagé ton verre et qui n'a pas d'herpès et a qui je n'ai pas osé donner mon numéro de téléphone.
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