Nous nous sommes croisés dans le métro ligne 4 , tu es entré tu t'es assis en face de moi, le trajet a duré 15 à 20 minutes durant lesquels nous nous sommes jetés de beaux regards intenses mais furtifs, moi la timide je n'arrivais pas à soutenir ton regard trop longtemps. J'ai fini par descendre à la station gare du Nord, nous nous sommes regardés avant que je descende mais aucun n'a osé faire le pas vers l'autre.

Ligne 6 - puis assis l'un en face de l'autre Ligne 9 Je t'avais déjà observé ligne 6. J'ai esquivé ton regard longtemps puis j'ai craqué, je t'ai souri. Tu m'as répondu sans attendre par un sourire.Adidas au pied, valide jaune, father&son.. Tu as égayé ma journéeSi tu passes par là..

Cher inconnu, La ligne 1 ce matin était bondée et tu étais près de la porte en discussion avec je suppose un collègue barbue qui avait un sac à dos …Plusieurs regards échanger et serait fou que de ce revoir!!! J’avais un bombers noir ,des écouteurs et un rouge à lèvres rouge ! Je suis descendue à Francklin R.

Je suis montée dans la 4 à Montparnasse, je ne sais plus si tu y étais déjà ou pas mais à un moment tu étais là, juste à côté de moi, et on s'est immédiatement souri. Tu étais debout, avec ton gros sac au sol, et moi assise en face de toi sur le strapontin. Dès que nos regards se croisaient, le sourire venait, c'était doux et excitant. J'aurais tellement aimé te parler, je n'ai pas osé. Coup de chance, on descendait tous les deux à Réaumur Sébastopol et on prenait tous les deux la 3, nous étions cote à cote dans les escaliers, puis une fois sur le quai on est montés dans des wagons différents. Je t'ai aperçu à travers la paroi vitrée, tu es descendu à République... et moi je suis restée là. Te reverrai-je ?

Tu es entré dans ce wagon de la ligne 7, vers 22h30, métro Crimée ou Riquet, dans ces parages. Je suis au téléphone et organise un verre avec une amie. Tu t'assois dans le carré, en diagonale de moi. Je te vois. Nos regards se croisent. Tu portes des lunettes, la trentaine, tu es vêtu de noir, chaussures comprises et as une petite valise noire également. Je regrette de ne pas t'avoir abordé, je descend gare de l'est.

Nous avons parlé de choses qui se sont avérées communes sur la course la marche et nos expériences et je t’ai souhaité de t’amuser pendant ton marathon et je suis partie prendre mon train pour la Normandie…j’aimerais tant prolonger notre discussion j’aurais du demander ton numéro de dossard ! Tu vis à Avignon…

Vous avez pris le RER à Choisy le roi en direction de Paris. Vous vous êtes assis en face de moi. Vous descendiez à Saint Michel et avant de partir vous m'avez demandé l'autorisation de me faire un compliment... J'ai accepté.Vous avez un tatouage sur le bras gauche :)Nous n'avons pas eu le temps de nous parler. J'espère que nous pourrons y remédier...

Tu me regardais même quand je suis descendue, dans le rer A, vers chatou - croissy... Tu avais des air pod et un iPhone 🤷‍♀️

Toi, grand homme environ la vingtaine , aux cheveux noirs, lunettes, costume noir, tu étais debout à côté des portes dans le métro ligne 9 direction Pont de Sèvres. Je suis montée à Franklin D. Roosevelt vers 19h30, avec ma sœur. Tu me regardais déjà de l’autre côté de la rame… Nos regards se sont croisés, juste un instant. Un moment suspendu. Je suis descendue à Trocadéro, le cœur un peu retourné, pendant que toi tu continuais ton trajet.Si tu te reconnais — ou si quelqu’un qui lit ça te reconnaît — écris-moi. Ce serait dommage de rester deux inconnus dans la foule.

Le monsieur en question était assis aux places de 4, dans le metro de la ligne 7 aux alentours de 11h40/45. Une boucle d'oreille dorée à l'oreille gauche. Brun, carrure de rugbyman, les cheveux courts et ondulés je crois. Un jean, une veste bleue, des baskets claires, un sac adidas noir en bandoulière. Une barbe. De jolies mains. Il est descendu à chatelet, a pris le premier tapis roulant puis le deuxieme diraction les rer.

J'ai pris le T3B un soir au fond tu étais déjà assis dès que je suis montée je suis restée en face de toi on s'est regardés plusieurs fois je suis descendue à porte de Clignancourt je me suis retournée mais je t'ai pas vu je te cherche depuis tous ces mois tu me manques je pense tous les jours à toi je veux te revoir faire un peu connaissance si tu te reconnais écris moi ici ou si quelqu'un le connaît merci mille fois de m'aider à le retrouver je suis mal sans lui maigre le temps qui passe j'ai eu û vrai coup de cœur ça arrive on ne s'y attend pas

Nous nous sommes croisés sur la ligne 4 du métro parisien en fin de journée. Juste avant la station Strasbourg-St DENIIIS (pour la ref) ce qui nous a permis d'échanger quelques mots 😉