En ce mardi 16 juin, aux alentours de 23h30, j’ai rencontré une superbe brune avec un maillot de l’Allemagne (c’est pas la folie mais la victoire nous permet d’oublier ce détail).Je suis rentré dans le métro à St Lazare, après quelques regards, nous avons échangé quelques mots et mon départ precipité m’a empêché de lui demander un contact.Nous étions tous deux sur la ligne 13 en direction de St Denis et je suis descendu à La Fourche.Je suis grand brun et j’ai les yeux bleus. Je portais un maillot de l’équipe de France.
Date
mardi 15 juin 2021
Heure
Soir, Entre 23h00 et 0h00
On a échangé
Un regard, Un sourire, Quelques mots
Ville
Paris, France
Type de transport
Métro
Ligne n°
13
Terminus
St Denis
Je suis un
Homme
Tu es une
Femme
Cheveux
Bruns
Yeux
Marrons
Peau
Mate
Tu partais pour barcelone via Toulouse
on a échangé quelques mots et j’ai vraiment apprécié ces moments avec toi ! Ce serait un plaisir de te retrouver ! Julien
je me suis arrêté pour te reparler
je suis descendu du métro j’ai attendu le prochain avec ça tu devrais savoir
Un regret
Le regret amer de voir ton sourire échapper à mon destin, un instant fugace mais éternel, me hante tel une mélodie funèbre.
Eyes contact sur la ligne 13
A la jeune femme très stylé croisée sur le quai de la ligne 13 à Porte de Clichy, dimanche en début de soirée. Nous sommes montés en mm temps dans la même rame un peu bondé, nous étions debout l’un en face de l’autre le temps du trajet. J’étais pressé et dans mes pensées, tu m’as regardé plusieurs fois et je t’ai répondu timidement en te regardant et ne suis pas resté indifférent à nos regards échangé. Tu étais sur ton tél, adossé contre la porte du wagon. Ton style était joliment, simplement efficace avec une coupe de cheveux courte au carré, un beau maillot de foot dans les tons bleus d’une équipe national asiatique, un jean clair ample et des baskets. 2 Stations plus tard, je suis descendu et ns ns sommes échangé un dernier regard coupable. Le tps de réaliser il était déjà trop tard pr ce parler, nos chemins se sont séparés spontanément là et tu as continué le tiens en direction des Agnettes .. Si jamais tu te reconnais ce serait cool, je pose ça là telle une bouteille jetée à la mer
Debouts côte à côte
J’étais déjà debout, adossé contre une porte de la rame lorsque tu es montée. Tu t’es adossée de la même manière que moi juste à côté, les bras croisés. On s’est regardé à plusieurs reprises sans rien de plus. Tu es descendue à Saint-Lazare et j’ai continué. J’ai trouvé ce moment un peu maladroit (le contexte des transports en commun y est pour quelque chose) mais mystérieux en même temps. J’aurais aimé pouvoir parler avec toi. Si tu te reconnais, n’hésite pas à me contacter
« Hasta luego »
Si ves este mensaje, creo que tendría que agradecer al destino. Estabas con tu amiga (hablaba español contigo) y luego vino un hombre quien creo era tu profe y hablabas con el en FRANCÉS ! (Vaya sorpresa) A ver, lo escribo por si a caso pero la verdad que TÚ, la chica que busco, era tan linda, mi ideal femenino. Escríbeme, ya sabes 😌
Un sac Coach et des cheveux L’Oréal
Tu avais un long manteau noir par-dessus une robe en filet, des escarpins, une bague et un sac Coach. Tu étais avec une amie rousse qui portait un pull à col roulé noir sans manche. Je portais une casquette, une chemise blanche avec les manches retroussées, un pantalon sombre, des chaussures noires et un tote bag. Je ne sais plus à quelle station tu es descendue, mais en sortant de la rame, tu as fait un retourné capillaire de tes cheveux ondulés, à en faire pâlir une égérie dans une pub L’Oréal, puis tu m’as lancé un regard…
Crush avec une Camille ligne 13
Camille, avec ta valise, j’ai pas osé te parler mais tu m’as plus, contacte moi !!! Je suis le gars avec pleins de sac dans le métro ligne 13, cheveux long, tu t’es déplacé dans mon wagon !
L’inconnue de Miromesnil
À Saint-Lazare. Tu viens de monter. Rame bondée. Mais toi, juste à côté de moi, un sourire. Ca n’est pas de l’audace, c’est bien au-delà ! Une seule station. Voilà Miromesnil. Descente à deux ! Sourire encore. Je suis sur ma route et pourtant déjà je te suis. Le long du quai. Doc Martens noires. Traces de boue. Par ce temps sec et printanier ?Qui peux-tu bien être ? Viens-tu d’un monde parallèle ? Collants noirs. Pas opaques. Jupe green. Fluo. Sac Herschel. Kaki. Veste écossaise ? Cheveux attachés/détachés. Tu te recoiffes le temps d’un éphémère escalator. Je ressens ta présence. Un peu plus loin, tu me retiens la porte battante. Sourire toujours. As-tu rougi ? Sortie du métro.Suis en retard. Violence intérieure à devoir te doubler dans les escaliers. Viens-tu de me jeter un regard furtif ? Moi oui. Je dois filer. Mais le regrette immédiatement. Es-tu juste là, derrière moi ? Coup d’œil depuis l’angle de la rue : tu as disparu … et moi je suis un con. Faut-il compter sur le hasard ou les reposts pour recroiser le plus enthousiasmant sourire de ce printemps ?
Sait-on jamais..
Un rapprochement physique contraint par le nombre de personnes, quelques mots échangés, un coup de main pour l’équilibre, un échange trop court.. J’ai regretté de ne pas être resté quelques arrêts de plus après être descendu à Brochant. Puis-je avoir une 2eme chance ?
Nos yeux seul moyen de communication ligne 13 à 18h
Ta doudoune kaki, tes cheveux attachés et tes yeux. Étonnant comme démarche, étonnant même d’y croire mais ça s’essaye. J’espère juste que nous pourrons nous recroiser.
Un échange de sourires au moment de sortir
Bonjour, J’étais dans le métro en face de vous. Vous avez levé la tête au moment où je sortais à Montparnasse. Je vous ai souri. J’aimerais vous revoir.
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