Vous vous apprêtiez à descendre à Hôtel de Ville, vous m’avez aperçue et adressée un large sourire auquel j’ai répondu spontanément. Mais je suis restée assise près de la porte, un peu étonnée. Mon esprit d’escalier m’a joué un tour, j’aurais dû descendre et poursuivre de vive voix cette conversation muette…. J’aimerais sincèrement…

Vous vous apprêtiez à descendre à Hôtel de Ville et vous m’apercevrais. Vous m’adressez un large sourire auquel je réponds mais reste assise tout près de la porte. Quel esprit d’escalier, j’aurais dû descendre pour poursuivre de vive voix cette conversation muette. J’aimerais beaucoup vous connaître….

On s’est croisé dans un premier temps sur la ligne 4 et ensuite on a pris la 1. Tu as descendu à Argentine ! Je me souviens qu’il y avait quelques regards et je crois que tu m’avais fait un sourire…. J’ai détourné le regard par timidité …. Je sais que c’est un message qui ne sera peut être jamais lu mais qui sait ??

Nous avons discuté du livre que tu lisais, un roman épais à la couverture jaune. Je suis descendue à Gambetta sans avoir osé te donner mon numéro.. grand regret.

Je recherche un homme d'une trentaine d'années, cheveux châtains courts, assis en milieu de rame avec une valise (il me semble), dans les deux places qui se font face à face, mais il était assis en biais côté couloir. Nous avons échangé plusieurs regards.

Nous nous sommes croisés d'abord dans le RER A, tu es montée à Vincennes. Puis nous nous sommes retrouvés à Châtelet sur la ligne 4 direction Bagneux. Je suis descendu à Odéon, on a échangé un regard et un sourire.

Ce matin-là j’ai croisé ton regard avant l’ouverture des portes du train L. J’ai trouvé que tes lunettes t’allaient très bien, plus je te regardais plus je te trouvais mignon, Tu portais une boîte en carton assez grande. De mon côté j’ai les cheveux longs, roux et je portais un manteau long noir. Nos chemins se sont croisés à la sortie de la gare Bécon les Bruyères où nous avons échangé un regard et un petit sourire, t’es parti vers une rue parallèle et l’on s’est croisé à nouveau quelques instants plus tard puis on s’est encore adressé un regard et un autre petit sourire, chacun de son côté de la rue. Mais il arrive le moment où nos chemins se séparent, tu m’adresses un dernier regard et je te dis bonjour de la main quoique ça avait l’air d’un au revoir puisque j’ai traversé la rue dans le sens opposé d’où tu te tenais pour continuer mon chemin. Avant d’arriver à mon arrêt de bus j’ai vu que tu t’étais arrêté et t’étais resté debout à me regarder partir. Je ne sais pas si t’hésitais à traverser pour venir me parler. J’aurais adoré…

Nous sommes montés dans la même rame peu avant 10h sur la ligne 8 à Madeleine. Nous avons échangé plusieurs sourires et je vous ai souhaité une bonne journée lorsque vous êtes descendu à La Motte Piquet. Vous avez ensoleillé ma journée

Tu étais magnifique, j'ai échangé quelques mots avec ton fils. Tu m'as souri en descendant à la motte piquet, j'ai regrette ne pas être descendu te parler des que les portes se sont fermées.

Vous m'avez regardée avec un léger sourire lorsque je suis rentrée dans le métro 2 et que je me suis installée. Ensuite nous avons échangé quelques regards, mais je n'avais réalisé ce qui s'était passé qu'en vous voyant descendre à Belleville, un grand sourire aux lèvres. J’étais presqu’au bord du rire (rire nerveux) en vous voyant partir. Vous vous êtes retourné à plusieurs reprises et je n’ai pas eu le temps de décider ce qu’il fallait faire. J'ai hésité, descendre ou non, pour échanger quelques mots, mais je me suis raisonnée et dit que si vous ne m'aviez pas abordée, c’est parce que vous aviez de bonnes raisons... J’ai cherché et retrouvé votre regard, toujours souriant au moment où le métro s’était refermé, et que vous descendiez les marches. Mais si à tout hasard, ces raisons étaient inexistantes, et que vous êtes parti sans me parler pour la même raison qui m'a empêchée de venir vous parler (timidité), sachez que c'était fort agréable et que je serai contente de vous revoir. Il me semble que vous aviez des Docs marrons. Pour ma part j'avais un manteau bleu nuit, des mocassins verts cirés et des tresses ondulés.

Je suis rentrée dans la rame et nos regards se sont croisés très brèves et intenses ! A plusieurs reprises. Il était en train de passer des messages ! Puis à l arrivée de ma station, je suis sortie en le regardant tendrement ! J avais très envie de faire demi tour mais le train est parti ! Depuis cette rencontre me revient dans mon esprit !

Nous nous sommes croisés en fin de journée le mardi 19 novembre sur la ligne 4. Vous teniez une tarte abricot pistache et nous avons échangé quelques mots et des sourires. Je suis descendue trop vite, à la station st placide…

Tu lisais ton livre "Aimer en vérité" en face de moi je te regardais je suis sortie à Odéon sans oser te (re) regarder avant de partir ni te parler. Mais j'aurais voulu ! #timidité

Tu me regardais intensément avec tes yeux bleus, je pense que l’attraction était réciproque ou bien je me trompe. J’étais avec un sac à dos et un sachet d’achat dans les mains. Je suis typée asiatique j’avais un pull violet et un manteau gris. Si tu es célibataire tu peux m’écrire pour se découvrir un peu plus 🙂

J'étais debout entre 2 wagons et tu étais assise au milieu d'un ensemble de trois places juste à côté de moi. Nous avons échangé de nombreux regards sur la ligne 1 vers 9h30 le mardi 12 novembre. Je suis descendu à la station Champs-Elysées-Clémenceau mais je n’ai pas osé t’aborder à mon grand regret.

A toi, qui m'a aidé a relever mon amie au bras cassé, alors que prise de l'hilarité de sa chute, je n'étais capable de rien d'autre que de rire. Sans toi, elle aurait passé le reste du trajet allongée au sol démunie, et moi dans l'incapacité prise par mes spasmes d'hilarité. A toi qui en a rit autant quand on s'est aperçu que son gloss tombé dans l'encadrement de la porte empêchait le départ de la rame... Le métro a démarré ce soir la vers 1h00, il est parti de République en direction de Rosny, et toi tu es descendu à Place de Fête. Je serais heureuse de continuer ce fou rire autour d'un verre avec toi ❤

métro 11 vers 09h00. tu avais un beau sourire et tu étais attendrie par le groupe d’enfant qui venait de monter dans le wagon.

Je tente ma chance, a toi bel inconnu avec un petit air de SnoopDog, je suis montée à Madeleine sur la 14 et je suis descendue à Gare de Lyon. Tu étais assis sur le strapontin, ton regard m’a captivée. Je suis restée debout à te regarder en secret, tu écoutais ta musique et nos regards se sont croisés. À la sortie pour Gare de Lyon, j’ai pu lire sur tes lèvres un beau compliment, et je t’ai remercié quand je montais l’escalator. J’espère te croiser à nouveau

Vous êtes montée peut-être à Denfert Rochereau ou un peu avant dans le métro ligne 6 en direction de Charles de Gaulle vers 16H10 ou 15, nous avons croisé nos regards et nous les avons recherchés plusieurs fois ensuite...j'y ai trouvé beaucoup d'authenticité et de complicité comme si nous nous souhaitions en partager plus. Si vous vous reconnaissez et qu'un élan vous pousse à me retrouver aussi...j'en serais ravi. Au plaisir d'un échange, Patrick

Ligne 14, tu étais assise auprès d'une porte. Tu es Châtain avec les cheveux attachés tu portais des docs noires, habillée en bleu... Je suis descendu à Cœur Saint-Emilion... J'étais attendu... Un dernier regard... J'aimerai replonger dans tes si jolis yeux...