Garçon métro ligne 14

Je suis rentrée à Bercy, dans la ligne 14, tu lisais, moi aussi alors je me suis mis à côté de toi. On est descendu au même arrêt, tu m’as coupé la route, on etait maladroit alors tu m’as souris, on a continué à marcher mais j’ai pas osé te parler .. Quand nos chemins se sont séparés on s’est tous les deux retournés et pour que je finisse par écrire un message ici c’est que ton dernier sourire m’a donné envie de te retrouver. Puis j’ai même pas vu le titre de ton livre ? …

J’ai refusé son numéro et depuis j’y pense…

Sentiment étrange de passer à côté d une rencontre par discrétion , interrogation sans vraiment se regarder mais de savoir que l on s observe je descends à châtelet je monte les escaliers et je vous regarde la porte se ferme le métro quitte le quai ….. la journée se poursuit avec cette pensée j aimerais une seconde chance que le destin nous remette sur le même chemin.

Un court instant de regard, je n’ai que la tête pour ça depuis ce moment de transport en ta présence.

Tu es entré dans le métro ligne 14, peut-être à Gare de Lyon, direction St Lazare. Il était minuit 45 environ. Tu étais avec un ami. Je n’ai pas pu m’empêcher de te regarder, un peu gênée même à travers la vitre du métro dans laquelle nos silhouettes se reflètent. J’étais debout, près de la porte et toi derrière, debout, puis assis.

Il y’a quelqu’un qui est descendu en même temps que moi du métro à Bercy ce samedi soir, manteau vert pantalon noir, on est sorti du métro en même temps, cheveux brun, on s’est regardé, tu m’as dit bonjour, je suis un peu perdue là mais si tu te reconnais écris moi écris moi écris moi J’ai vraiment envie de discuter avec toi c’était très fort

Un coup de cœur mais pas assez de panache pr te donner mon numéro avant de quitter la rame.. Une bouteille à la mer en espérant que tu auras eu la même idée que moi…

Je te trouvais déjà très beau au premier au regard, et j’avoue avoir choisi ma place pour te contempler. J’en fût donc d’autant plus séduite quand tu m’exposa tes goûts littéraires puisque j’adore Orwell. Je portais des cheveux argentés par dessus une veste rose en velours, ainsi qu’un épais sac à dos. J’espère que le destin sera clément et me laissera une chance de te rencontrer à nouveau.

Bonsoir …notre timidité l’a emportée, échanges de regards et sourire sans oser se parler Suis descendue à la station Bercy pensant que vous y descenderiez aussi car vous vous êtes lèvé de votre siège Le hasard fera t il qu on puisse se retrouver par ce site Je portais une doudoune bleue nuit un bonnet gris et j’avais une petite valise noire Samsonite

Peut-être le début d’une grande histoire Tu m’as regardé pendant de longues secondes quand tu es sorti du métro Tu as failli remonter dans le métro ! Dommage