Un échange de sourires au moment de sortir

Camille, avec ta valise, j’ai pas osé te parler mais tu m’as plus, contacte moi !!! Je suis le gars avec pleins de sac dans le métro ligne 13, cheveux long, tu t’es déplacé dans mon wagon !

À Saint-Lazare. Tu viens de monter. Rame bondée. Mais toi, juste à côté de moi, un sourire. Ca n’est pas de l’audace, c’est bien au-delà ! Une seule station. Voilà Miromesnil. Descente à deux ! Sourire encore. Je suis sur ma route et pourtant déjà je te suis. Le long du quai. Doc Martens noires. Traces de boue. Par ce temps sec et printanier ? Qui peux-tu bien être ? Viens-tu d’un monde parallèle ? Collants noirs. Pas opaques. Jupe green. Fluo. Sac Herschel. Kaki. Veste écossaise ? Cheveux attachés/détachés. Tu te recoiffes le temps d’un éphémère escalator. Je ressens ta présence. Un peu plus loin, tu me retiens la porte battante. Sourire toujours. As-tu rougi ? Sortie du métro. Suis en retard. Violence intérieure à devoir te doubler dans les escaliers. Viens-tu de me jeter un regard furtif ? Moi oui. Je dois filer. Mais le regrette immédiatement. Es-tu juste là, derrière moi ? Coup d’œil depuis l’angle de la rue : tu as disparu … et moi je suis un con. Faut-il compter sur le hasard ou les reposts pour recroiser le plus enthousiasmant sourire de ce printemps ?

Un rapprochement physique contraint par le nombre de personnes, quelques mots échangés, un coup de main pour l’équilibre, un échange trop court.. J’ai regretté de ne pas être resté quelques arrêts de plus après être descendu à Brochant. Puis-je avoir une 2eme chance ?

Ta doudoune kaki, tes cheveux attachés et tes yeux. Étonnant comme démarche, étonnant même d’y croire mais ça s’essaye. J’espère juste que nous pourrons nous recroiser.

A la recherche de tes magnifiques yeux et sourires que j’ai perdu Place de Clichy ou tu m’as salué même si tu t’étais trompé et avais voulu descendre une station avant. Signe distinctif : ton grain de beauté près des lèvres me rend fou

Nous avons échangé 2 regards et sourires ce matin vers 9h dans la ligne 13, station Montparnasse, et suis sorti à Miromesnil. Serai heureux de vous recroiser et peut-être échanger davantage !

T’es cheveux or ta bouche ton nez ton look street

Un truc de dingue m’est arrivé, j’ai espérer que tu descendes à Porte de Vanves comme moi., mais tu as continué. On s’est regardé à travers la fenêtre quand je suis descendu. Je n’arrive pas à t’oublier. Peut être vas tu te reconnaître et me contacter….

tu es descendu à Guy Môquet en me lançant un dernier sourire qui me fait écrire en ce moment meme ces mots. Bouteille à la mer, mais le regret de ne pas t’avoir demandé ton numéro est trop grand pour ne rien faire..

J’étais à ta gauche et tu as lancé un petit regard sur mon téléphone. En voyant que j’écoutais La Femme, tu as changé tout de suite d’artiste sur ton téléphone en mettant tout pareil. Je t’ai lancé un regard suivi d’un sourire et ce fût réciproque. Hâte de partager de la musique sans nos écouteurs :)

On s’est croisé dans le métro sur la ligne 13 tu es monté à Saint lazare avec ta petite valise que tu traînais avec un monsieur lui aussi avec sa petite valise, nos regards se sont croisé à plusieurs reprise le temps de ses deux stations .Je ne t’ai pas abordé pendant que tu était avec le monsieur mais finalement ce n’étais pas le cas, je suis descendu a la station champs Élysée à grand regret, toi tu as continué ton chemin . Depuis je ne fais que penser à mon manque d’audace ou d’initiative ce jour là. Tu es une magnifique brune au cheveux bouclés habillé en noir avec des mocassin noir tu porte des lunettes plutôt grande. Et du vernie rose clair sur les mains. Moi je suis le jeune homme qui portait son pull noir sous le bras , la casquette et la barbe. J’ai pas grand espoir que tu tombes sur mon message mais c’est le seul qu’il me reste. Il paraît qu’il faut croire aux Miracles .

C’est toi qui m’a abordé en premier. On venait de prendre place dans le second métro après l’annonce qui nous a dit que le premier ne prenait plus de voyageur. Là tu m’a demandé: « pourquoi on a changé de métro ? » et je t’ai répondu « je sais pas ». Puis le métro a démarré et au fur et à mesure des stations ils se remplissait de personnes on c’est échangé plusieurs regards tout en disant que l’on ne rentrerai pas tous dans le wagon. Tu m’as ensuite demandé: « Vous descendez où ? » je t’ai répondu « St Lazare » et tu m’as dit « moi aussi ». On est descendu à St Lazare je cherchais la sortie pour la gare on s’est de nouveau trouvé en tête à tête je t’ai souri et je t’ai dit au revoir. J’ai pris les escaliers je me suis retourné, je ne t’ai plus vu, et je me suis dit que je n’avais pas ton numéro…