OUIGO en retard de 2h40 de Montparnasse

C’est pas malin d’oublier sa carte d’identité mais ca l’est encore moins de ne pas avoir osé demander ton numéro

J’espèrai qu’on stop a Nantes et je t’aurais invité à manger pour faire connaissance.

Nous nous croisons dans le couloir du métro, vous m’avez tenu la porte. Vos yeux bleus. Puis nous nous revoyons dans le train. Votre place était à côté de la mienne mais vous proposez de vous assoir ailleurs… Nos regards se croisent, vous êtes occupée à stabiloter. Je vous ai perdue aux Aubrais. Et j’aimerais vous revoir.

Nous avons voyagé côte à côte dans le TGV Paris Nantes numéro 8127, le 13 mai dernier. Je suis descendu à Angers. Nous étions assis en voiture 5, places 67 et 68. Nous avons entamé une discussion sur le livre numérique, puis sur la réparation des véhicules électriques etc… J’aurais aimé pouvoir continuer notre conversation et en entamer d’autres si vous êtes d’accord… Cordialement

Très belle fille, yeux marrons qui était assise en face de moi pendant le trajet Paris Nantes. Je l’ai laissé passé devant moi sur l’escalateur à gare de nantes

Nous étions assis à côté voiture 6, du moins après que tu ai échangé ta place, de Paris à nantes ce 17 août arrivée 17h à nantes. Toi tu portais une veste en jean et un jean avec un pull vert décoré. Brun à lunettes avec un masque blanc. Je n’ai pas osé t’aborder, je m’en veux un peu … tu as dessiné tout le trajet sur ton carnet noir, tu avais l’air très créative en tout cas … j’espère vraiment que tu passeras par là et qu’on pourra se revoir …

Vous étiez avec vos 2 enfants, que j’j’ai adoré … J’aimerais vous revoir si un jour vous venez à la tranche sur mer

Assis en face de toi, j’avais un casque noir et orange sur les oreilles, habillé d’un col roulé noir, les cheveux ondulés mi-longs en bataille. Tu m’as montré mon téléphone qui sonnait et que je n’entendais pas, deux fois. Tu m’as écrit quelques mots sur un bout de papier puis tu es partie. Ces mots m’ont touchés mais je n’ai vu le papier que trop tard. Tu étais sûrement loin. Ne me laissant aucun nom, juste des mots. Même pas l’occasion de te remercier.