Des regards échangés gare de Lyon...

Une cigarette sur le quai à Paris avant le départ… Ire impression, Un regard a changé sur la plate-forme, en attendant la descente à Valence… Deuxième impression, Je te laisse repartir plus au sud, et alors un immense regret de ne pas avoir fait un pas, un premier contact… Troisième impression Une bouteille à la mer… Dernière impression

Déjà un mois. Un dernier message pour une belle jeune femme brune aux cheveux longs qui portait un petit haut noir à manches courtes à dentelles, un short et des mocassins. Tu es montée en gare de Valence TGV et tu es venue t’asseoir voiture 18 côté fenêtre, en face de moi en diagonale. J’avais la place 35 côté couloir. J’ai remarqué ton beau sourire et tes beaux yeux verts. J’ai essayé de te regarder jusqu’à Montpellier oú tu es descendue toi aussi. Nous ne nous sommes pas parlé, seulement quelques sourires . Je voyageais avec ma fille. À l’arrivée à Montpellîer, tu m’as adressé un regard et un sourire en me disant « une belle soirée ». Puis je t’ai perdue de vue dans le flot des voyageurs. Aujourd’hui, je n’ai plus d’espoir de te revoir. Une belle rencontre, inespérée, un beau moment trop vite passé. Adieu ma belle inconnue, je t’emporte avec moi. Olivier

Un dernier message désespéré pour une jeune femme brune aux cheveux longs qui portait un haut noir à manches courtes à dentelles, un short et des mocassins. Elle est montée en gare de Valence TGV en voiture 18 en face de moi côté fenêtre. J’ai été ébloui par son beau sourire et ses beaux yeux verts. Descendue à Montpellier, comme moi. Perdue de vue après qu’elle m’ai dit « une belle soirée » avec son beau sourire. Un beau moment trop vite passé.

Déjà une semaine de passée depuis que je t’ai perdue de vue à l’arrivée de notre TGV en gare de Montpellier-St Roch ce 4 juin 2023 à 21h26. Je repense encore à ce moment où j’ai pu croiser ton chemin. C’était carrément improbable. Il y avait une seule chance sur des centaines pour que tu viennes t’installer juste en diagonale de moi dans cette voiture 18 dans le carré. J’étais assis à la place 35 côté couloir, tu t’es assise en face de moi côté fenêtre. Quand on pense au nombre de voyageurs dans ce TGV, cela semble tout simplement impossible. Et pourtant, c’est arrivé. Quand je t’ai vu arriver en compagnie de l’autre jeune femme, j’ai pensé que vous vous connaissiez. C’est vrai que sa tenue vestimentaire avec son bustier blanc et ses épaules nues a attiré mon regard, et je pense que tu l’as remarqué car tu as souri. Mais c’est vers toi que mes yeux se sont tournés. C’est alors que tu m’as adressé un sourire et j’ai été ébloui. Je précise que dans ce message, je m’adresse à toi en te tutoyant, ce que je ne me serais jamais autorisé si j’avais eu le courage de te parler. Impossible, car je voyageais avec ma fille et elle n’aurait pas compris cette attitude. Pourtant j’en brûlais d’envie. Tu étais brune, des cheveux longs, un joli petit haut noir avec des manches courtes en dentelles, un short et des petits mocassins. J’ai été ébloui dès le début par ton joli sourire et le bonjour que tu nous a adressé en t’asseyant en face de nous. J’ai remarqué tes beaux yeux verts très clairs. Je n’osais pas te dévisager. De temps en temps je te lançais un regard très rapide en savourant ce moment que le hasard, le ciel ou le diable me permettait de vivre. Le soleil faisait ressortir encore plus le joli vert de tes yeux. J’aurais voulu arrêter le temps. A ce moment, je me dis que tout va finir pour moi à Montpellier. Je ne sais rien de toi. Je ne savais plus quoi faire, ou dire, quand le haut-parleur a annoncé notre arrivée imminente à Montpellier-St Roch. « C’est sûr, je vais te perdre ». Les secondes me glissaient entre les doigts et je ne te verrai plus. Je t’ai vue alors rassembler tes affaires et j’ai compris que tu descendais aussi à Montpellier. Je me souviens avoir pensé que tout espoir n’est pas perdu. Nous sommes arrivés à Montpellier à 21h26 et tu m’as regardé une nouvelle fois en me disant avec ton beau sourire « une belle soirée ». Nous sommes tous descendus avec le flot des voyageurs et je l’ai perdue de vue. Je te cherchais des yeux, sans succès, en essayant de ne pas me faire remarquer par ma fille. J’ai été subjugué par cette rencontre impossible, et par la gentillesse qui émanait de toi. La vie réserve parfois des moments inattendus et j’ai réellement l’impression d’avoir rencontré un Ange. Je ne te reverrai certainement plus, et j’ai une famille que j’aime. De plus, rien ne dit que je t’ai plu. Je ne sais rien de toi. Je ne sais pas si tu vis à Valence ou à Montpellier ou ailleurs. Je n’ai partagé ce sentiment avec personne. Peut-être par peur de ne pas être compris. Après, ne dit-on pas que le monde est petit ? Je garde secrètement au plus profond de moi ce moment délicieux, en espérant te croiser à nouveau, revoir ton beau sourire et tes beaux yeux verts. Adieu ma belle inconnue, je t’emporte avec moi.

Aujourd’hui, 10 juin 2023, déjà six jours de passés et je ne parviens pas à oublier cette rencontre. Je repense encore et encore à ce moment où j’ai pu croiser ton chemin. Cela ne peut pas exister ! Et pourtant, c’est arrivé. Une seule chance sur des centaines pour que tu viennes t’installer juste en face de moi dans ce TGV 6035 au départ de Paris / Valence TGV vers Montpellier. Depuis cette rencontre, je repense sans arrêt à toi, ma belle inconnue brune, avec des cheveux longs, un joli petit haut noir à manches courtes en dentelles, un short et des petits mocassins et des beaux yeux verts. En gare de Valence-TGV tu es venue t’asseoir en diagonale de moi, dans notre carré. J’étais assis place 35 côté couloir, tu t’es assise côté fenêtre, en face. Je ne me souviens pas du numéro de ta place. J’ai été ébloui dès ton arrivée par ton joli sourire et ton « bonjour ». J’ai remarqué tes beaux yeux verts très clairs. Je n’osais pas te dévisager. Je te lançais parfois un regard très rapide en savourant ce moment que le hasard, le ciel ou le diable me permettait de vivre. Quelqu’un ou quelque chose a permis cela, ce jour là. Le soleil faisait ressortir encore plus le joli vert de tes yeux. J’aurais voulu arrêter le temps. Je ne me lassais pas de te regarder tout en sachant que cela resterait sans lendemain. A ce moment-là, je me dis que tout va finir pour moi à Montpellier car je descends. Je ne sais rien de toi. Quand le haut-parleur a annoncé notre arrivée imminente à Montpellier-St Roch. « C’est sûr, je vais te perdre ». Les secondes me glissaient entre les doigts et je ne te verrai plus. Je t’ai vue alors rassembler tes affaires et j’ai compris que tu descendais aussi à Montpellier. Tout espoir n’est pas perdu. Nous sommes arrivés à Montpellier à 21h26 et tu m’as regardé une nouvelle fois en me disant avec ton beau sourire « une belle soirée ». Aujourd’hui, quand je repense à ce moment, je me dis que j’aurais dû te demander si je pouvais te revoir, c’était LE moment et je l’ai laissé passer. Je m’en veux terriblement. Je m’en veux de ne pas avoir osé te parler, même si j’avais « pris un râteau ». Au moins, je saurais à quoi m’en tenir. Là, j’ai mal. Je t’ai perdue, sans réel espoir de te rencontrer à nouveau et en ne sachant rien de toi. A notre descente du train, très vite je t’ai perdue de vue. Je t’ai cherchée des yeux, sans succès, en essayant de ne pas me faire remarquer par ma fille. C’était trop tard. Cela n’arrive qu’une fois. J’ai été subjugué par cette rencontre impossible, et par la gentillesse qui émanait de toi. La vie réserve parfois des beaux moments et j’ai réellement l’impression d’avoir rencontré un Ange. Aujourd’hui, je me dis que je ne te reverrai certainement plus, je ne suis qu’un vieux fou de 58 ans, j’ai une famille que j’aime. De plus, rien ne dit que je t’ai plu. Mais je pense sans arrêt à toi depuis dimanche dernier. Je ne sais rien de toi. Je ne sais pas si tu vis à Valence, Montpellier ou ailleurs. Je garde secrètement au plus profond de moi l’espoir fou de te croiser à nouveau, revoir ton beau sourire et tes beaux yeux verts. Adieu ma belle inconnue, je t’emporte avec moi. Olivier, le 10 juin 2023

J’envoie ce message, un peu comme on jette une bouteille à la mer, en complément du 1er message que j’ai déjà posté et que j’avais intitulé « J’ai Peut-être rencontré un Ange ». Ce soir, jeudi 8 juin 2023 à 21h26, cela fera 4 jours que je t’ai perdue de vue à l’arrivée de notre TGV en gare de Montpellier-St Roch. A partir du moment où tu es montée en gare de Valence à 20h13, je n’ai cessé de me demander jusqu’à quel moment je pouvais te garder avec moi. Je savais que ma fille et moi allions descendre à Montpellier mais je ne savais pas où toi, tu descendrais. Je souhaitais que cela durerait le plus longtemps possible. Je repense encore à ce moment où j’ai pu croiser ton chemin. C’était carrément improbable. Il y avait une seule chance sur des centaines pour que tu viennes t’installer juste en diagonale de moi dans cette voiture 18 dans le carré. Quand on pense à la capacité d’accueil des voyageurs dans ce TGV, cela semble tout simplement impossible. Quand je t’ai vu arriver en compagnie de l’autre jeune femme, j’ai pensé que vous vous connaissiez. C’est vrai que la tenue vestimentaire de l’autre jeune femme avec son bustier blanc et ses épaules nues a attiré mon regard, et je pense que tu l’as remarqué car tu as souri. Mais c’est vers toi que mes yeux se sont tournés. C’est alors que tu m’as adressé un sourire et j’ai été ébloui. Je précise que dans ce message, je m’adresse à toi en te tutoyant, ce que je ne me serais jamais autorisé si j’avais eu le courage de te parler. Impossible, car je voyageais avec ma fille et elle n’aurait pas compris cette attitude. Pourtant j’en brûlais d’envie. Tu étais brune, des cheveux assez longs, un joli petit haut noir avec des manches courtes en dentelles, un short et des petits mocassins. J’ai été ébloui dès le début, par ton joli sourire et le bonjour que tu nous a adressé en t’asseyant en face de nous. J’ai vu tes beaux yeux verts très clairs. Je n’osais pas te dévisager. De temps en temps je te lançais un regard très rapide en savourant ce moment que le hasard, le ciel ou le diable me permettait de vivre. Le soleil faisait ressortir encore plus le joli vert de tes yeux. J’aurais voulu arrêter le temps. Je ne me lassais pas de te regarder tout en sachant que cela resterait sans lendemain. A ce moment je me dis que tout va finir pour moi à Montpellier. Je ne sais rien de toi. Je ne savais plus quoi faire, ou dire quand le haut-parleur a annoncé notre arrivée imminente à Montpellier-St Roch. C’est sûr, je vais te perdre. Les secondes me glissaient entre les doigts et je ne te verrai plus. Je t’ai vue rassembler alors tes affaires et j’ai compris que tu descendais aussi à Montpellier. Je me souviens alors avoir pensé que tout espoir n’est pas perdu. Nous sommes arrivés à Montpellier à 21h26 et tu m’as regardé une nouvelle fois en me disant avec ton beau sourire « une belle soirée ». Nous sommes tous descendus avec le flot des voyageurs et je l’ai perdue de vue. Je te cherchais des yeux, sans succès, en essayant de ne pas me faire remarquer par ma fille et en donnant le change. J’ai été subjugué par cette rencontre impossible, et par la gentillesse qui émanait de toi. La vie réserve parfois des moments inattendus et j’ai réellement l’impression d’avoir rencontré un Ange. Je ne te reverrai certainement plus, je ne suis qu’un vieux fou de 58 ans et j’ai une famille que j’aime. De plus, rien ne dit que je t’ai plu. Je ne sais pas si tu vis à Valence ou à Montpellier. Je voulais mettre tout cela par écrit, tant que ce souvenir me reste car la mémoire est faillible. Je n’ai partagé ce sentiment avec personne. Peut-être par peur de ne pas être compris. Après…..ne dit-on pas que le monde est petit ? Je garde secrètement au plus profond de moi ce moment délicieux, en espérant te croiser à nouveau, revoir ton beau sourire et tes beaux yeux verts. Adieu ma belle inconnue, je t’emporte avec moi. Olivier, le 8 juin 2023

Le 4 Juin 2023, j’ai pris place à bord du TGV INOUI n°6035 à Paris Gare de Lyon à destination de Montpellier qui était annoncé à 17h40. Ce voyage dans un premier temps s’annonçant avec un retard de 20 minutes au départ de Paris a tout d’abord provoqué en moi un sentiment d’énervement. « Et allez, encore du retard ». Finalement le TGV a été annoncé à la voie 19 avec un retard de 20 minutes et nous avons assisté à une ruée de voyageurs qui a pris d’assaut la voie 19. Aucun scan n’a été effectué à l’embarquement des voyageurs afin de gagner le maximum de temps et j’en remercie la SNCF. Je prends place avec ma fille en voiture 18, place 35, côté couloir. Ma fille occupe la place 36 côté fenêtre. Il s’agit là d’un emplacement carré ou famille. En face de moi se tiennent deux hommes déjà installés à notre arrivée, qui nous disent bonjour. Notre TGV a fini par arriver à Valence à 20h13 et les deux hommes sont descendus. C’est alors que sont entrées deux jeunes femmes, toutes les deux d’environ 25 à 30 ans, et elles se sont installées en face de nous. Nous pensions ma fille et moi qu’elles se connaissaient, du fait qu’elles sont arrivées exactement au même moment. En fait, il n’en est rien. Une coïncidence. Celle qui s’est assise en face de moi portait un bustier blanc à épaules nues et des cheveux longs, ce qui la rendait assez sophistiquée. Mais j’ai surtout été ébloui par la jeune femme qui s’est installée en face de moi, côté fenêtre. Elle était brune, des cheveux assez longs, un joli petit haut noir avec des manches courtes en dentelles, un short et des petits mocassins. J’ai été ébloui, par son joli sourire et le bonjour qu’elle nous a adressé en s’asseyant en face de nous. Elle avait de beaux yeux verts très clairs. Je n’osais pas la dévisager. De temps en temps je lançais un regard très rapide vers elle en savourant ce moment furtif que le hasard, le ciel ou le diable me permettait de vivre. Le soleil faisait ressortir encore plus le joli vert de ses yeux. J’aurais voulu arrêter le temps, quelle folie ! Elle était réellement très belle et je ne me lassais pas de la regarder tout en sachant que cela resterait sans lendemain. Je ne sais rien d’elle. Elle est descendue comme nous à Montpellier à 21h26 en me disant avec son beau sourire « une belle soirée ». Puis, je l’ai perdue de vue. J’ai été subjugué par cette rencontre, et par la gentillesse qui émanait de cette personne. La vie réserve parfois des moments inattendus et j’ai réellement l’impression d’avoir rencontré un Ange. Je ne la reverrai certainement plus, je ne suis qu’un vieux fou de 58 ans et j’ai une famille que j’aime. De plus, rien ne dit que je lui ai plu. Je portais un Jeans et un tee-shirt « ILLINOIS », j’ai des cheveux courts que l’on dit « poivre et sel ». Je voulais mettre tout cela par écrit, tant que ce souvenir me reste car la mémoire est faillible. Je n’ai partagé ce sentiment avec personne. Peut-être par peur de ne pas être compris. Après…..ne dit-on pas que le monde est petit ? Je garde secrètement au plus profond de moi ce moment délicieux, en espérant la croiser à nouveau, pour revoir son beau sourire et ses beaux yeux verts. Adieu ma belle inconnue, je t’emporte avec moi. Olivier

J’étais assis à côté d’une jeune femme pétillante, plus petit que moi dans les 1 mètre 60, de corpulence fine, au teint mat. Ses lunettes de lecture ronde a tige fine. Avec de livre dont un a priori de droit. Sûrement « Les devoir en droit ». Je tente ma chance ici en espérance que celle-ci aperçoive cette annonce. Je n’ai pas osé, entamé une plus longue conversation que quelle banalité échange…

Re-Bonjour à vous ravissante jeune femme blonde aux yeux bleus et son adorable petite fille.Je suis le voyageur en claquettes devant vous, celui qui part en région parisienne pour ses vacances, celui qui est resté figé comme une statue devant votre sourire en descendant à Montpellier Sud de France, celui qui reconnaîtrai votre sourire entre mille autres, sans qu’aucun masque ne puisse y faire quelque chose… Je ne vous recroiserai sûrement pas, vous ne lirez sûrement jamais ces quelques lignes égarées sur le web, mais votre sourire restera précieusement gravé dans ma mémoire. Je vous souhaite de belles vacances, que le soleil que vous venez chercher dans le Sud ne vous quitte jamais. Philippe.

Quelques regards, et aucunes paroles échangées à part des banalités. Il était très tôt, on était tous fatigués, j’ai pas juger essentiel de te parler sur le coup. En plus tu lisais un livre alambiqué du style « Le rouge n’est pas une couleur » ou quelque chose comme ça. Mais j’ai réalisé après coup que j’aurais dû lancer la conversation… On se recroisera peut-être (très peu de chance). Mais qui sait ?

Au cas où. J’ai trouvé ta présence agréable. Nous aimons tous les deux les couchers de soleil de la sncf. Si l’envie te dit d’échanger quelques mots sans masque un jour et de se raconter d’où on vient.