Architecte ?

Mercredi 20 mars 2024. TGV inouï 6120 Marseille/paris. Voiture 6, place 115. Qui ne tente rien, n’a rien! Tu es monté à bord à Avignon.À mon voisin aux magnifiques yeux marrons, au pull gris avec qui j’ai partagé un café en voiture Bar car nous n’arrivions plus à travailler. Je portais un haut rouge et jean noir. Je rentrais de séminaire. Nous n’avons pas vu le temps passé en parlant de nos métiers, nos voyages, ton expérience au Canada, ta nouvelle vie dans ta maison de « vacances » à L’ISLE-SUR-LA-SORGUE et bien plus encore de retour à notre place! On a partagé un excellent moment vers Paris, et sur le quai tout est allé très vite (trop). Je regrette de ne pas avoir pris un contact avant que tu ne retrouves ton frère dans vos bureaux, proche Gare de Lyon. J’espère que le chocolat que je t’ai offert était d’autant plus savoureux. En espérant arriver au bout de cette enquête… 😉 Merci !!! Lor

Vous étiez assis dans le carré à coté du mien, avec vos deux enfants. J’étais accompagnée de ma nièce de 6 ans. Nous avons échangé de nombreux regards et sourires mais je n’ai pas osé vous interpeller devant vos enfants. Vous avez lu un livre sur César à votre fils puis avez regardé un film ensemble. J’aimerais beaucoup vous revoir.

Tu étais assis en face de moi dans un carré avec ta famille et de nombreux regards et sourires se sont échangés. Nous étions dans le wagon le plus à l’avant à l’étage du dessus. Tu devais avoir la vingtaine et tu étais habillé en noir, tu portais un médaillon de baptême et des claquettes chaussettes aux pieds (on revient de Marseille tout de même). On n’a pas osé venir se parler parce que tu étais avec ta famille et je regrette un peu. Je suis la jeune fille blonde, débardeur rose, veste blanche, pantalon noir, parfois avec lunettes parfois sans. Si tu vois ce message j’aimerais bien que l’on se revoit.

On s’est échangé des regard depuis ton entrée dans le train à la gare d’Avignon TGV. J’ai raté mon opération et je ne suis pas venue te parler. Maintenant j’ai le seum et je ne sais pas comment te retrouver… Léa.

De nombreux regards échangés tout au long de notre trajet. Du quai de Marseille jusqu’au métro 1, tu m’as perturbée, mais j’ai n’ai pas osé te parler. Je serai curieuse d’apprendre à te connaître.

non je rigole mais en vrai y avait une petite connexion il me semble et pourquoi pas tenter (j’ai jamais fait ça de ma vie, on dirait une folle mdr)