Je suivais vos chaussures plates, et votre manteau mi-long un peu vert peut être, en montant l'escalier vers le quai de la ligne 6 à Montparnasse, un soir où la 12 était en panne. Nos regards se sont croisés quand je vous ai dépassé sur le quai en soufflant comme vous. Cheveux brun, comme vous, j'avais un kway vert, un sac à dos et un pantalon noir, et une sacoche grise en bandoulière. Je suis monté une voiture avant la vôtre, et nous sommes descendus à La Motte tous les deux. Un petit courant semblait être passé.

Un début après midi sur la ligne 6. Elle était à côté d'une de ses amis. Elle a sortie de son sac des fils pour faire du crochet. 1 chance sur un million de la retrouver ou qu'on se plaît mais ça en vaut le coup.

Vous étiez assise dans un carré de 6, j’étais debout. Nous avons échangé des regards à plusieurs reprises. Vous êtes très brune de cheveux et de peau. Je suis descendu à la station Chevaleret. Je souhaite vous inviter à boire un verre. Contactez moi.

Vous êtes montée peut-être à Denfert Rochereau ou un peu avant dans le métro ligne 6 en direction de Charles de Gaulle vers 16H10 ou 15, nous avons croisé nos regards et nous les avons recherchés plusieurs fois ensuite...j'y ai trouvé beaucoup d'authenticité et de complicité comme si nous nous souhaitions en partager plus. Si vous vous reconnaissez et qu'un élan vous pousse à me retrouver aussi...j'en serais ravi. Au plaisir d'un échange, Patrick

Belle artiste peintre de Montpellier voulant vivre à Sètes, portant un manteau orange vif. Avec un beau regard et un joli sourire.Moi, grand, cheveux court et barbu.Nous nous sommes rencontrés en voulant réveiller une personne sur le quai 12, nous avons parlé dans le couloir menant vers la ligne 6. Nous nous sommes séparés avant de reprendre la discussion chacun sur notre quai respectif jusqu'à ce que votre métro arrive. Je n'ai pas pu entendre votre Insta, ni vous mon invitation pour un concert le samedi.Au grand plaisir de vous revoir, continuer cette discussion qui se semblait magique et poétique...

Toi : Cheveux noirs, peau claire, haut noir, jeans bleus. Moi : Crâne rasé, casque de musique, habillé en noir.On a échangé un premier regard en attendant le métro à La Motte-Piquet-Grenelle. Puis un second juste avant que tu ne descende à Passy.J'avais l'impression qu'on était hésitant tous les deux. Je ne voulais pas te déranger, mais j'aurais peut-être dû.Je voudrais te revoir et te parler cette fois-ci.

Nous sommes montés dans le métro 6 à la Station Bir Hakeim. Vous avez bâillé… Je vous ai dit que c est contagieux… Vous m avez répondu que c est bon pour la santé… Vous m avez souri…

Au départ de la station Charles de Gaulle-Étoile, j'étais assis dans l'un des carrés de quatre places que comporte le métro 6, et vous étiez dans ce carré sans toutefois être assise en face de moi.J'ai repéré que vous lisiez « Aurais-je été résistant ou bourreau ? », de Pierre Baillard. Si vous n'avez certes quasi pas levé la tête et que vous étiez tantôt absorbée par votre livre, tantôt absorbée par votre téléphone, je vous ai quelque peu observé et j'ai décelé dans votre personne un charme, une beauté, et une joliesse absolues, couplés, surtout, d'un un flegme et d'un sérieux apparents, ce qui m'incite à jeter cette bouteille à la mer.Pour mémoire, vous êtes descendue à la station de métro Saint-Jacques.Si vous vous reconnaissez, et si vous le souhaitez, je vous saurais gré de me faire signe.

Je pense que tu t’appelle Agathe, on a échanger un regard dans le métro la 6 on a changer de métro a Kleber car le notre c’est arrêter

Je me plaignais dans l’escalator de reprendre le travail puis tu m’as regardé et sourie à plusieurs reprises, puis on s’est recroiser sur le quai du métro 6.

Lorsque mon regard s'est arrêté sur ton majestueux sourire, mon âme n'a eu de cesse de te plonger mes yeux dans tes yeux. J'étais subjugué par ta beauté. Un homme aux cheveux gris échangeait avec toi, j'aime à croire que ce n'était qu'un collègue. Tu portais une robe longue bleu-marine/noir avec motif blanc, accompagnée de très jolis escarpins. Je veux te recroiser... ne serait-ce juste que pour plonger mon regard dans le tien l'espace d'un nouvel instant ?

Nous a fait sourire et avons échangé quelques mots. Quitte à être en retard, nous aurions dû prendre quelque instants pour un café ... peut-être pas trop tard ! ou une prochaine fois sur la 6 !