crushfindr - comment retrouver une personne croisée par hasard ?
Comment retrouver une personne croisée par hasard ?
Guillaume345

Concert vivaldi, Église de la Madeleine

  • 5 vues
  • Il y a 9 mois
  • 0
    0

J’aimerais te retrouver, assise à côté de moi, sur la première rangée à gauche

Quand on s'est rencontré

Date

mercredi 6 septembre 2023

Heure

Soir, Entre 20h00 et 21h00

On a échangé

Un sourire

Où on s'est rencontré

Ville

75008, Paris, France

Lieu ou occasion

Premier rang concert vivaldi, eglise de la Madeleine

Adresse précise

Eglise de la Madeleine

A propos de moi

Je suis un

Homme

A propos de toi

Tu es une

Femme

Cheveux

Bruns

Yeux

Marrons

Peau

Blanche

Crush similaires à 75008

  • 21 Fév 23
  • 1 vues

Une bouteille à la mer !

Nous nous sommes échangés quelques regards et tu m’as donné quelques magnifiques sourires; tu t’es même retournée deux fois… aucun n’a osé aborder l’autre malheureusement ! Je tente ici !

  • 24 Nov 22
  • 3 vues

distincte et pop !

Votre regard et votre beau sourire m’ont consolé de la longue file d’attente. J’aimerais les recroiser au quotidien.

  • 6 Nov 22
  • 7 vues

Au détour de ce Starbucks

Je t’ai remarqué dans ton monde, je crois que tu avais des écouteurs. Tu es allé à Maisons du monde, puis à Normal, puis dans le Starbucks où j’étais. Tu t’es mises seule, dans un coin, et je n’ai pas osé te déranger. Ensuite je suis allé à Maisons du monde avec d’autres gens, et tu y es revenue. J’avais l’impression que c’était un signe, mais c’est sûrement une illusion. Enfin je suis allé à Courir, tu y es allée aussi, très brièvement, c’était trop beau pour être un hasard. Mais après ça je ne t’ai plus revue. A toi qui t’es reconnue, si tu vois ça, c’est que tu ressens la même chose que moi, alors contact moi.

  • 5 Juil 22
  • 0 vues

Tu étais en City scooter avec un casque rose et moi en vélo

Tu portais un casque rose en city scoot, un pantalon blanc. J’étais en vélo lime. Nous avons fait la course et avons échangé un sourire

  • 14 Déc 21
  • 4 vues

Vénus parmi les peintures russes

Nous nous sommes regardés dans la file d’attente, malgré le fait que nous étions à l’heure nous sommes rentres en retard. L’attente étant longue, nous avons soufflé de désespoir au même moment. Nous étions peut-être les seuls « jeunes » visiteurs de l’exposition, que nous avons faite presque entièrement l’un à côté de l’autre. À la fin, tu as acheté le catalogue et moi quelques cartes postales juste après toi. Tu es ensuite allé voir l’autre exposition, j’attends de savoir ce que tu en penses!

  • 18 Oct 21
  • 3 vues

Une jolie inconnue aux yeux verts

Nous nous sommes croisés sur le même trottoir rue Réaumur. Nous nous sommes regardés, puis souris. Enfin, nous nous sommes attendus, toi près de la Boulangerie Biogt à l’intersection entre Réaumur et St Denis, moi non loin de cette même boulangerie. Le tout, sans jamais franchir le pas bien que très perturbés par cette rencontre. Mon appel téléphonique aura duré bien trop longtemps, malheureusement. Je cherche à te revoir, ici ou au même endroit, à la même heure.

  • 24 Avr 21
  • 1 vues

Joggeur recherche la belle Méduse de la rue Saint-Anne, Paris 2e

Déjà 1 heure que j’ai croisé ton regard. qui ne me laisse pas indemne… Le retour à la normal fut rude. Tu hantes mon esprit depuis. Ô toi, troublante inconnu, tendre Méduse qui en quelques fragments de seconde as sondé de tes beaux yeux noires les tréfonds de mon être sans que je ne sache ce que tu y as vus. Rien ne me prédestiné à cela en ce banale début de samedi après-midi. Aux alentours de 13h30, j’arpentait un peu fatigué et insouciant le deuxième arrondissement parisien en rentrant humblement à mon domicile après une intense séance de running et quelques courses faites. C’est en descendant la rue Sainte-Anne (entre le 56 et le 58), à son croisement avec la rue Rameau pour être précis, (entre la boucherie et la camionnette de police), que je me suis figé. Si j’aurais à décrire ton image, belle Méduse, qui me parait déjà si lointaine, je dirais que tu mesure aux alentour du mètre 70, habiller de quelques discret accessoires assortis (sac, écharpe (?), masque) tous sur un ton plutôt sombre dans des tons automnales. Dans les détails, je dirais : manteau noir marron (peut être un perfecto cuir), jean obscur gris(?) légèrement dépareillé du reste, masque tissu foncé noir se mariant à la couleurs des cheveux. Sur ces derniers, les rares surface visibles de ton apaisant visage (peau claire légèrement halé) étaient irradié de magnifique mèches châtaines clairs (peut être blondes) scintillants dans l’ensemble de ta magnifique chevelure châtaine ondulante emplis d’un charme tout romantique. Quant à moi, j’arborais une tenu sportive plus simple a identifier moins approprié à cette rencontre. Masque de tissu noir sur le visage, peau claire, coupe de cheveux courte relevé sur le devant, veste coupe vent ample noir et short bleu nuit de la marque à la virgule, chaussure noir et chaussette du même bleu, écouteurs filaires blanc aux oreilles. Comme signe distinctifs, une cicatrice sur le tibia gauche et à la main je tenais un sac en toile noir du bout des mains contenant quelques courses dont 2 baguette de pains visibles. Après ce bref regards, tu as traversée au petit passage piétons devant le petit hôtel Baudelaire Opera et l’entrée rue Sainte-Anne du passage Choiseul. Toujours confus, j’ai légèrement ralentis et tourné mon regard vers le lieu d’impact et il me semble que tu fis de même esquissant une légère rotation de la tête. Trop lâche pour m’arrêté et confronté réellement ce signe qui n’en était eut être pas un, je continuais ma route en toute quiétude externe mais emplit de questionnements profonds, déjà occupé a refaire le scénario parfait de cette non rencontre. J’écris ces lignes pour te retrouver, c’est vrai, mais aussi pour ne pas perdre à tous jamais le souvenir que j’ai de toi ainsi que le trouble accompagnant ce bref et intense instant de grâce où le temps c’est arrêté. Cette bouteille à la mère restera sans doute, lettre morte, mais si tu lis ces lignes sache que longtemps je vais ressasser ce moment où dans cette rue que je connais bien, des circonstances autres auraient pu… je préfère ne pas l’imaginer et ménager mon esprit. Dans le cas échéant belle et heureuse vie à toi, et courage aux pauvres âmes errantes qui comme moi croiseront un jour ton tendre regard médusant. Ruben

Le seul site pour retrouver ton crush

Made with ❤️ in Paris