Date
mercredi 8 novembre 2023
Heure
Soir, Entre 21h00 et 22h00
On a échangé
Un regard, Un sourire, Quelques mots
Ville
Paris, France
Type de transport
Métro
Ligne n°
4
Terminus
Porte de Clignancourt
Je suis un
Homme
Tu es une
Femme
Cheveux
Bruns
Coupés
Mi-Longs
Yeux
Bleus
Peau
Blanche
Signes distinctifs
Verres de contact, avocate, livre Folio sur les genoux
Une musicienne à Pantin 4 Chemins
L’étui du violoncelle ou de la contrebasse qui tenait tout seul debout à attiré mon attention puis je me suis rendu compte de la personne qui la transportait. Je suis devenu timide… Je raccompagnais ma maman à la gare quand nos regards ont commencés à se chercher, on a finis par se sourire, tout gênés et penauds. J’ai du descendre à gare de l’Est. Tout c’est arrêté là, depuis je cherche en vain :)
Rencontre métro 4 avec une musulmane
En ta présence, mes yeux se sont posés sur toi, et pourtant, je n’ai pas osé m’approcher. Je suis un jeune homme à la peau mate, les cheveux soigneusement attachés, revêtu d’un manteau gris. En te voyant, ma sœur en Islam, coiffée d’un voile et parée d’un casque, j’ai hésité à troubler ta quiétude. En somme, je me suis trouvé démuni face à l’incertitude de la meilleure approche. À t’observer, j’ai ressenti une émotion singulière, une curiosité aiguë comme si quelque chose émanait de toi, sans que je ne sache explique quoi exactement. Si par hasard, l’idée de bâtir quelque chose dans la droiture et le licite te séduit, je lance cette bouteille à la mer, espérant que mon message te parvienne. Sur ce site, j’utilise un pseudonyme, et tu es bienvenue à me contacter, toi ou ton mahram, via ce mail : [email protected].
Une belle inconnue en manteau jaune, descendue aux Halles
Tu es entrée dans le wagon et tu t’es assise juste à coté de moi dans le carré en queue de train. Grande, châtain, classe, manteau jaune et bottines pointues… nos regards se sont croisés. Nous étions serrés l’un contre l’autre… En sortant aux Halles à 7h38, tu m’as indiqué qu’un de mes gants avait glissé sur le sol, et nos regards se sont croisés à nouveau. J’aurais du sortir du wagon ave toi et t’adresser la parole. J’en mourrais d’envie…
Ma belle inconnue…
Tu m’as proposé la place assise à coté de toi, mais une grosse dame endormie avec son sac à dos en occupait la moitié. Je t’ai souri et je me suis assis en face de toi. Nous nous sommes regardés à la dérobée pendant que tu regardais ton tel. Tu es sortie vers 22h15 à Barbès, et tu t’es retournée sur le quai en me regardant. J’aimerais te revoir.
L’inconnue de train 7674
Tu es descendu du train en provenance de Bordeaux, moi aussi. Arrivé vers 23h. Avec beaucoup d’assurance tu fendais la foule des voyageurs puis tu t’arrêtais de temps en temps pour apprêter ton panier que tu tenais à l’épaule, et repartait en roulant une petite valise. Tu avais beaucoup de classe et je t’ai remarqué parmi tous ce monde. Je pariais sur le fait que tu passais le weekend à Paris. Tu me paraissait enchantée. Pendant plusieurs minutes nous avons marché au coude à coude et je sentais ta présence. Sans le savoir, nous allions dans la même direction. À plusieurs reprises nous nous sommes éloignés car tu préférais ne pas prendre les escalators. Arrivé sur les quais de la ligne 4 je me suis retourné et tu es arrivée. Tu étais rayonnante et je me suis retrouvé devant toi, arrêté net complètement hébété. Je crois que je t’ai souris sans trop comprendre. Je me suis assis dans la rame. Tu t’es assise a côté de moi. J’étais presque paralysé et le temps s’est arrêté. Je t’ai regardé dans le reflet d’une vitre et tu as soutenue mon regard. Je n’osais presque plus bouger. Toutes mon attention était porté vers toi. Une secousse dans le métro et un millimètre de ma peau a effleuré un millimètre de la tienne. Une sensation assez vive, comme électrique, ma traversé le corps. Je suis descendu à Châtelet avec ma valise en carton à la hâte comme extrait de ce moment de douce torture pour poursuivre ma route. Les jambes en compote et la sensation d’avoir oublié quelque chose, j’ai continué mon chemin. D’ailleurs, quelques jours après la sensation demeure. Je crois que c’était vraiment le coup de foudre. L’envie de l’écrire ici pour que tu puisses le savoir un jour qui sait si tu te reconnais.
C’était impossible de ne plus te regarder
On s’est échangé des sourires, je suis descendu à châtelet. J’étais avec ma valise. Je n’ai aucune idée de pourquoi je ne suis pas venue te voir j’ai instantanément regretté. T’avais l’air aussi peu confiante que moi mdrrr PS: pour la couleur des yeux j’avoue c’est totalement au hasard je suis pas un aigle.
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