Station Émile Zola

On s’est croisé vers 9h45 sur le quai de la station Duroc, on est passé l’un proche de l’autre sans se quitter du regard, le temps que je me retourne pour te voir dans ton grand imperméable crème et tes cheveux au reflet roux l’instant paraissait destiné au souvenir… à moins que ?

Aux alentours de 19h30, plusieurs regards ont été échangés, une porte ouverte puis (il faut bien le dire !) le manque de courage m’a empêché de venir te parler. Tu avais une robe rouge et tu es descendu à l’arrêt Émile Zola, J’avais une chemise blanche avec une veste de costume gris foncé. J’ai hésité avec de lancer cette bouteille à la mer mais après tout : pourquoi pas ?

Tu venais de la gare d’Austerlitz, tu as pris le même tgv que moi je crois mais c’est dans le métro que nos regards se sont croisées et maintenant je me dit que j’aurai aimé faire plus ample connaissance avec toi. Tu portais une robe à fleur, les cheveux châtains légèrement décoiffés, la tête dans les nuages. On a tous les deux pris la ligne 13 vers Saint-Denis il me semble mais nos chemins se sont séparés à St Lazare.

Dans le métro 3 filles se sont installées à côté de moi. Nous avons au début échangé des regards avec celle en face. Puis j’ai fini par discuter. La conversation a été interrompue car elles devaient partir

Nos regards se sont croisés quand le conducteur a annoncé un problème sur la ligne. Ensuite, un gars bourré dans la rame a déclenché le frein d’urgence pour le plus grand bonheur du conducteur qui est venu l’engueuler. Bref on fait difficilement pire comme première rencontre . Quoi qu’il en soit, je n’ai pas osé discuter avec toi mais j’aimerais te revoir car j’ai beaucoup aimé ton énergie et ton sourire.

A l’attention de la fille en orange de la ligne 10. On a fait le trajet Austerlitz-Duroc dans la même rame. Tu étais au fond, j’étais assis vers le milieu. On s’est échangé quelques regards puis un plus long aux abords de Duroc. J’étais en polo bleu, bermuda blanc et sacoche, cheveux bruns. Si jamais tu lis ce message, saches que j’aimerais te revoir.

N’ayant pas de stylo, je vous ai demandé un stylo, que nous n’aviez pas ((j aurai voulu vous donner ensuite mon numéro), ensuite j’ai dû descendre station mabillon , car stage au jardin du Luxembourg. Vous aviez ceinture CK et livre 1984 je crois. Mon chatain yeux bleus, vous la quarantaine élégante Pourquoi pas ?

Tu es brune et tu portais un masque noir tête de mort. Tu as les cheveux long d’un côté et très courts ou rasés de l’autre. Je ne suis pas très grand, j’ai le crâne rasé et je portai un blouson noir, un sac à dos et un masque rouge. Nous étions assis à quelques mètres l’un de l’autre avec quelques personnes entre nous. Nous avons échangé de nombreux regards remplis de désir. Je me suis littéralement noyé dans tes yeux. Je suis descendu à la station Michel- Ange – Auteuil en partant comme un voleur alors que tu étais encore dans la rame. Nos regards se sont croisés une dernière fois lorsque j’étais sur le quai. Il était trop tard pour t’aborder. Je m’en veux terriblement de ne pas avoir été plus loin. J’en mourrai d’envie en fait.

On s’est vu à la station Sully morland, j’avais du mal avec mes valises noirs et bleues sur le dessus.. tu m’as gentiment aidé une première fois et nous sommes descendus ensemble à Jussieu où tu m’as de nouveau aidé ! J’ai du descendre à Duroc et je regrette vraiment de pas t’avoir demandé ton nom au moins !

Assise en face de moi. Je ne pouvais m’empecher de regarder tes beaux yeux. Je te recherche ici car j ai été un idiot de n’avoir rien tenté ce jour là.

Tu ma rendu amoureux et premier fois que je suis resté bloquer