Vous m'avez regardée avec un léger sourire lorsque je suis rentrée dans le métro 2 et que je me suis installée. Ensuite nous avons échangé quelques regards, mais je n'avais réalisé ce qui s'était passé qu'en vous voyant descendre à Belleville, un grand sourire aux lèvres. J’étais presqu’au bord du rire (rire nerveux) en vous voyant partir. Vous vous êtes retourné à plusieurs reprises et je n’ai pas eu le temps de décider ce qu’il fallait faire. J'ai hésité, descendre ou non, pour échanger quelques mots, mais je me suis raisonnée et dit que si vous ne m'aviez pas abordée, c’est parce que vous aviez de bonnes raisons... J’ai cherché et retrouvé votre regard, toujours souriant au moment où le métro s’était refermé, et que vous descendiez les marches. Mais si à tout hasard, ces raisons étaient inexistantes, et que vous êtes parti sans me parler pour la même raison qui m'a empêchée de venir vous parler (timidité), sachez que c'était fort agréable et que je serai contente de vous revoir. Il me semble que vous aviez des Docs marrons. Pour ma part j'avais un manteau bleu nuit, des mocassins verts cirés et des tresses ondulés.

Quelques mots et sourires. Beaucoup de monde et debout. Plante basilic à la main

Je t'ai remarqué dès mon arrivée à Charles de Gaulle, mon corps et mon âme ont chaviré, toi grand, cheveux court poivre-sel, habillé tout en bleu marine, avec une doudoune sans manches et un dossier à la main, tu étais accompagné d'une femme (je prie pour que ce soit une collègue 🤞🏼🤞🏼), et vous êtes descendus à Rome (moi de type asiatique carré blond avec une jupe en simili cuir et haut noir). Si l'univers est avec moi, et si tu te reconnais, fais moi signe...

Nous venons de nous croiser et d’échanger plusieurs regards intrigués et je n’ai eu le courage de te décrocher un mot puis tu t’es levé 2 stations avant ton arrêt à Barbès Rochechouart. Quel dommage. Un homme avec beaucoup d’elegance… Le destin serait fou si il te faisait tomber sur ce message.

Nous avons échanger des regards, j'étais assise et tu parlais avec quelqu'un alors voilà je jette une bouteille à la mer. La vie est coûte alors je tente.

Je devais aller à gare de l'est pour prendre mon train. J'ai pas pu descendre pour discuter avec toi. Je sais pas si tu te reconnais, je portais un pantalon vert et j'avais des dreads locks

Tous les deux assis dans le centre du wagon près de la porte et face a face, sur nos téléphones, moi manteau rouge robe noire sandales jaunes a talons, dans le sens de la marche, toi avec une une chemise ou un pantalon rose pâle je crois, un bracelet à petites billes, j'ai relevé les yeux et nos regards se sont croisés, tu as comme froncé les sourcils, j'aurais dû me lever et te dire n'importe quoi, j'ai rêvassé en regardant par la fenêtre et tu es sorti a Jaurès ! Fais moi signe par ici, qui sait :)

Tu es monté à Nation et je suis descendue à Jaurès, on a eu le temps d'échanger un regard avant que je descende et tu m'as souri. Je n'ai pas osé te parler et j'aurais dû. Je suis brune avec les cheveux bouclés.

On s'est croisés sur la ligne 2 Tu es grand (environ 1m90) Cheveux mi-long attachés Un costume marron une ceinture avec un "H" et un chapeau beige Pendant 3 stations nos regards ce sont croisés et c'était très intense. En descendant a Place Clichy tu m'as cherché du regard mais je n'ai pas eu le temps de te rattraper.

Je suis montée dans le métro à Monceau à la recherche d’une place pratique pour lire mon livre J’étais debout contre la porte de la rame et tu as poussé ton sac pour que je puisse + décaler mes jambes.. Tu es sorti à la station La Chapelle, il y avait bcp de monde et je n’ai pas pu te rattraper.. Tu es brun, cheveux courts, une casquette blanche, jean bleu et baskets blanches. N’hésites pas à me contacter !

Je suis une jeune femme qui portait un haut bleu et une jupe jaune à motifs. Nous sommes montés dans le métro à Brochant. Je t'ai regardé, tu m'as regardée. Puis tu es descendu à la station Place de Clichy, pour prendre la ligne 2, comme moi. Tu te retournais parfois sur le trajet pour voir si j'étais toujours présente. Nous avons attendu sur le quai, nous sommes montés dans le métro et tu es finalement descendu à Anvers. J'aurais aimé avoir l'audace de te demander ton numéro...

Nous étions debout l'un en face de l'autre après être rentrés dans la rame. J'ai enlevé mes écouteurs, je n'ai pas osé vous aborder