Qu'es tu devenu ?

Comme je regrette de ne pas avoir pris mon courage à deux mains dans ce carré du RER B ce soir… J’ai eu à peu près 12 ans dans ma tête et dans mon cœur pendant ces 10 stations, jusqu’à Chatelet où nous avons pris la même sortie… En tous cas, que ce message porte ses fruits ou non, ce fût le meilleur trajet de RER B de toute ma vie, et crois moi que je le prends souvent 🤪

Cette personne est montée à la station Cité Universitaire (il me semble), c’était un jeune homme grand, blond- châtain avec de très beaux yeux, veste noire avec capuche, un sac de sport noir et rouge et pantalon marron (de la même couleur que mon trench). Nous sommes descendu à Massy-Palaiseau, nous avons également pris le même bus en direction de Longjumeau (199). Nous avons eu beaucoup de regards mutuels… Je suis la femme brune avec les cheveux bouclés avec un trench marron et un sac picard. J’espère te revoir un jour !

Tu étais assis, tu portais un manteau couleur bordeau, et tu avais des écouteurs rouge. J’étais assise de l’autre côté du couloir. J’ai les cheveux châtain clair, les yeux bleus, des lunettes rondes. J’avais les cheveux attachés, un manteau bleu marine et un jean noir. On a échangé quelques regards puis je suis sortie à Denfert-Rochereau. J’aurais tellement aimé avoir le courage de t’aborder. Si tu tombes sur cette annonce fais moi signe !

Il y a encore quelques minutes , je ne connaissais pas ce site…mais à l’aube de cette nouvelle année, j’ai envie de croire que la chance sourit aux audacieux ! Nos regards se sont croisés sur le quai du RER B à Massy Palaiseau et pendant tout le trajet jusqu’à châtelet les Halles. Tu bouquinais un livre pour apprendre l’espagnol et moi j’écoutais de la musique. Aucun de nous n’a osé aborder l’autre mais j’ai eu le sentiment qu’on en aurait eu envie…

Bonjour, vous m’avez abordée ce matin dans le couloir du métro à Bastille, « charmant et direct  » en précisant que vous aviez plus de 20 ans. J’ai été surprise et vous ai répondu que l’on se recroiserait peut-être. Si vous en avez toujours envie….

On a pris le RER B à Châtelet, tu es descendu à Denfert Rochereau et moi à Cité U. On s’est échangés quelques regards derrière mes lunettes de soleil . Tu étais assis et moi debout. J’aimerai te revoir !

RER B, samedi soir vers 21h, je me suis assise devant toi, tu t’es excusé en te redressant sur ton siège, je t’es souri « c’est ok, rien de grave ». J’ai senti ton regard sur moi, je me suis plonger sur mon téléphone, puis j’ai levé mes yeux; En me redressant, hésitante je ne savais plus où poser mes yeux, la personne à côté de toi…, toi…, autre chose…. tu continuais de me regarder. Nous avons laissé sortir la personne à côté de toi. Puis j’ai déposé mes yeux sur les tiens. J ai ressenti un apaisement indéfinissable en osant te regarder j’étais un peu gênée mais c’était tellement doux. Nous sommes resté yeux dans les yeux un moment, j’ai esquissé soupire/sourire un peu amusé. Le temps de ce bref instant partagé, j’étais bien ! J’aurai souhaité un échange de coordonnées mais j’ai pas osé et tu es sorti à Chatelet en me souhaitant une bonne soirée, je t’es répondu un classique « merci, à vous aussi » et tu as disparu. Si tu lis se message, J’aimerai te connaître. Belle semaine à toi. et merci pour cette apaisement profond que j’ai pu ressentir en échangeant ce regard si simple et profond le temps d’une station qui m’a paru l’éternité et que j’aurai voulu faire perdurer.

Depuis quelques jours, nous nous croisons à la même heure pour prendre le RER A puis B le matin a 8h30. Nous serions donc voisin ? Toujours armé de ta trottinette électrique, tu arrives sur le quai comme une belle surprise. Je ne sais pas si je t’intéresse ou si tu as le cœur libre ..mais il me semble que nos regards se cherchent, se croisent. Sauf que ma timidité m’empêche de te sourire ou de te parler.. alors j’espère te recroiser.

Nous avons échangé tous les 3 sur un sujet familial, ce fut agréable et spontané. Au moment où je partais tu as dit « très belle rencontre ». Depuis je regrette un peu d’être partie si vite sans avoir pris tes coordonnées.

Il portait un béret beige, jean, tee-shirts grenat et s’est gentiment occupé de moi, donné une bouteille d’eau, trouvé une place.Il partait en colonie de vacances avec des enfants et animateurs pour Angoulême je pense Je suis descendue à Poitiers

Je portais un t-shirt noir, un pantalon imprimé et un gilet brun, les cheveux en chignon. Je t’ai remarqué dès ton entrée dans le wagon mais comme toujours j’ai été un peu trop timide pour faire le 1er pas… Tu ne liras sans doute jamais ce message mais puisqu’on n’a qu’une vie, je saute le pas

A toi l’inconnu du RER B qui ne mettait pas son masque sur son nez. J’avais rédigé mon numéro sur un morceau de papier mais n’ai pas osé te le donner… Comme je le regrettais bcp je me suis dit que j’allais tenter avec une annonce ? En espérant que tu la vois.