Tu avais complimenté mes longs cheveux

Fais moi signe si tu te reconnais, on est même allés tous les 2 à la BNP et je regrette déjà de ne pas t’avoir abordée.

Tu étais déjà dans le wagon quand je suis monté, plus précisément assise dans le coin sur un siège. Il me semble que tu t’es remaquillé durant le trajet. On a échangé quelques regards puis on est tous les deux descendus à Havre Caumartin.

J’ai vu une fille me regarder alors qu’elle était dans le bus et que j’étais dans la voiture. Cela s’est produit pendant un moment alors que les deux véhicules étaient arrêtés dans le 12 juillet 2021 entre 10h00 et 11h00. Je l’ai également regardée. Je pense que cela s’est produit alors que le bus se trouvait à une station de bus à Paris, Place du Châtelet près du Square la tour Saint-Jacques. Le numéro du bus était peut-être le 38 ou le 76. Je n’ai pas vraiment pu identifier la couleur de ses yeux en la regardant par la fenêtre. La couleur de ses yeux devait être brune ou verte. Elle avait une sorte de cheveux bruns, pas très longs. Elle avait l’air plutôt pensive et détendue. Je porte des lunettes et ce même jour, je portais un sweat-shirt gris, assis dans une voiture noire. Je pense que nous avons à peu près le même âge, des étudiants. J’ai regardé par la fenêtre et elle me fixait. Étant moi-même assez timide, j’ai fait demi-tour, mais j’ai regardé à nouveau au dernier moment, lorsque la voiture dans laquelle je me trouvais était sur le point de partir. C’est alors que je ne l’ai plus revue.

Regards furtifs avant de se perdre dans la nuit

Tu étais assise dans notre wagon bondé, malgré tout nous nous sommes échanger plusieurs regards, j’ai d’abord cru à une coïncidence mais nous sommes regardé pendant de longues secondes, la prochaine fois j’aurais le courage de te parler Ps: j’avais des écouteurs, un pull rouge, une veste longue et noir Je suis descendu a l’arrêt Sentier

Au début tu as vu que je te regardais à ta droite, puis tu t’avançais pour voir si le métro arrivait, et chaque fois tu te retournais et on se regardait, avec envie. Je suis parti du quai sans rien dire, je regrette. Contacte moi si tu as toi aussi envie qu’on se revoie. J’espère que tu liras ce message !

Je suis monté a Réaumur Sébastopol et elle m’a souri parce que je suis rentré pile a la fermeture de la porte. Des yeux incroyables et beaucoup d’élégance. Elle est descendu a Temple et pouf elle a disparue Bon je ne crois pas qu’elle verra ça mais que risquer a le tenter ? ‍♂️

Quand je suis parti vous m’avez approché en demandant si je parle français. J’ai entendu très peu de la suite (beaucoup de bruit) mais vous avez me donné votre prénom.

Nous avons commencé à parler ensemble en descendant du parc a Gallieni. Tu était vêtue d’une veste bleu et d’un loggin panthère, on en a rigolé. Nous avons prit le métro a Gallieni et tu est descendu a Réaumur Sébastopol pour prendre la 4. Je regrette de pas avoir prit de tes coordonnées, tu est une personne très sympathique! Si tu vois ce message n’hésite pas à faire un petit coucou. Bien à toi à chère inconnue.

Nos échanges de regards, sourires ensoleillés m’ont surpris à en rester bloqué jusqu’à ta sortie du tram porte de Montreuil.. toi moitié assoupie, moi un train à ne pas rater.. Du quai tu t’es retournée.. je lance une bouteille à la mer et souffle vers toi ..

A madame la professeure vêtue de noire, avec un bagage solide, un regard inexpugnable, des cheveux châtains au ton roux, des lèvres fermées, fines mais fières, qui une fois corrigeait des copies, et aujourd’hui était absorbée par son portable, j’ai failli descendre à Opéra, mais l’épistolaire semble être un bon début pour nous qui, en un demi regard, avons brulé toutes mes pensées.

J’étais debout en tête de train, tu étais assise à côté de la fenêtre. Nous avons échangé un regard et un sourire. Ma journée s’annonçant bien morne s’est illuminée. J’espère te recroiser un jour…